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Chronology Entries

# Year Text
1 1773-1785
Jean-Martin Moyë ist als Missionar in Sichuan tätig.
2 1773
Der Qianlong shi san pai di tu erscheint in Kupferstich.
3 1773
Voltaire. Fragmens sur l'histoire générale [ID D20019].
Voltaire pourchasse 'l'idée puérile' que les Egyptiens allèrent enseigner aux Chinois à lire et à écrire. C'est Voltaire qui a raison contre tous ceux qui s'efforçaient de nier l'originalité ou l'antiquité de la Chine : Cornelius Pauw, Athanasius Kircher, Michael Boym, Pierre Daniel Huet, John Turberville Needham ; Mairan, Jean-Jacques Dortous de. Lettres de M. de Mairan au R.P. Parrenin contenant diverses questins sur la Chine ; Guignes, Joseph de. Memoire dans lequel on preuve, que les chinois sont une colonie egyptienne [ID D1841] ; Recueil d'observations curieuses [ID D19098].

Voltaire schreibt : "Il nous a paru, par exemple, que les Chinois ne descendent pas plus d'une colonie d'Egypte que d'une colonie de Basse-Bretagne. Ceux qui ont prétendu que les Egyptiens avaient peuplé la Chine ont exercé leur esprit et celui des autres. Nous avons applaudi à leur érudition et à leurs efforts ; mais ni la figure des Chinois, ni leurs moeurs, ni leur langage, ni leur écriture, ni leurs usages n'ont rien de l'antique Egypte... M. de Pauw a traité d'absurde ce système qui fait des Chinois une colonie égyptienne, et il se fonde sur les raisons les plus fortes. Nous ne sommes pas assez savants pour nous servir du mot aburde ; nous persistons seulement dans notre opinion que la Chine de doit rien à l'Egypte. Le P. Parennin l'a démontré à M. de Mairan. Quelle étrange idée dans deux ou trois têtes de Français qui n'étaient jamais sortis de leur pays, de prétendre que l'Egypte s'était transplantée à la Chine, quand aucun Chinois, aucun Egyptien n'a jamais avancé une telle fabel !...
Le jésuite Needham, qui connaît tous les dialectes égyptiens et chinois comme il connaït la nature, vient de faire encore un petit livre pour répéter que les Chinois descendent des Egyptiens comme les Persans descendent de Persée, les Français de Francus, et les Bretons de Britannics... Cette puérile idée que les Egyptiens allèrent enseigner aux Chinois à lire et à écrire vient de se renouveler encore ; et par qui ? Par ce même jésuite Needham qui croyait avoir fait des anguilles avec du jus de mouton et du seigle ergoté... Ni la figure des Chinois, ni leurs moeurs, ni leur langage, ni leur écriture, ni leurs usages, n'ont rien de l'antique Egypte. Ils ne connurent jamais la circoncision : aucune des divinités égyptiennes ne parvint jusqu'à eux : ils ignorèrent toujours les mystères d'Isis».

Voltaire propose une solution éventuelle dans la pratique de la polygamie :
"Si dans la Chine, plusieurs femmes de la lie du peuple exposent leurs enfants, dans la crainte de ne pouvoir les nourrir, c'est peut-être encore une preuve en faveur de la polygamie : car si ces femmes avaient été belles, si elles avaient pu entrer dans quelque sérail, leurs enfants auraient été élevés avec des soins paternels."

Song Shun-ching : Voltaire défend l'architecture chinoise contre les critiques de Cornelius de Pauw. Il ne s'occupe pas seulement du style des ponts, il s'est aussi penché sur le style des maisons et des fenêtres. Pour répondre à l'attaque contres les ‘'enêtres de papier', il prouve que les Chinois connaissent la fabrication du verre.
Voltaire considère que 'la plus grande différence' entre l'Europe et l'Orient réside dans la manière de 'traiter les femmes', mais ses connaissances au sujet du rôle de femmes en Orient, et surtout en Chine, sont bien limités.
4 1773
Helvétius, [Claude-Adrien]. De l'homme [ID D20026].
Helvétius schreibt : "Le despotisme de la Chine est dit-on fort modéreé. L'abondance de ses récoltes en est la preuve. En Chine comme partout ailleurs, on sait que pour féconder la terre, il ne suffit pas de faire de bons livres d'agriculture ; qu'il faut encore que nulle loi ne s'oppose à la bonne culture. Aussi les impôts à la Chine ne sont portés sur les terres médiocres qu'au trentième du produit. Les Chinois jouissent donc presque en entier de la propriété de leurs biens. Leur gouvernement à cet égard est donc bon. Mais jouit-on de la propriété de sa personne ? L'habituelle et prodigieuse distribution qui s'y fait de coups de bambou prouve le contraire. C'est l'arbitraire des punitions qui sans doute y avilit les âmes et fait de presque tout Chinois un négociant fripon, un soldat poltron, et un citoyen sans honneur."
"La Chine est presque le seul empire où l'on ait reconnu l'abuse de [l'ingérence de l'état dans les questions religieuses]. Pour être historien juste et véridique il faut, disent les Chinois, être indifférent à la religion ; pour régir équitablement les hommes, pour être magistrat intègre, mandarin sans prévention, il faut donc n'être pareillement d'aucune secte.".

Basil Guy : Helvétius is led to expatiate upon the example of China. Thus, when attempting to prove that intolerance is fatal to rulers, he quotes a brief exemplum 'drawn from Confucius' in which the Sage and the Emperor converse on the reputation and rule of a prince who would heed only advice prompted by flattery, and so go to his ruin. The moral, however, is quite succinct and useful, in that it shows how Helvétius doubted not at all the efficacy of education, but despaired that it might ever prove the salvation of the Chinese, a people [chez lui] "l'intérêt présent de l'orgueil l'emporte presque toujours sur tout intérêt à venir". Already, when treating of the difference between 'l'esprit' and 'l'âme', when noting the variability of human judgment where self-interest is concerned, Helvétius is quick to select other examples from China. Yet even as he underlines their appositeness he introduces such a note of scepticism, or even of disbelief, that we cannot help but wonder if this man's view of the Middle kingdom were not itself prejudiced by his reading of merchant relations like Anson's. Helvétius, like many of his contemporaries, was led to believe that potential stultified and wasted through the tyranny of religion. The use to which he puts the Chinese example in an untoward chapter on the Jansenist controversy esplains better than aught else how his view of that far kingdom was perverted and why, despite this fact, Helvétius was unsuccessful when treating of religion. Helvétius must be accounted a factor in diminishing the force and popularity of the Chinese example because of the vast audience he rached and influenced.

Jacques Pereira : Ouvert à toutes les influences de son temps, Helvétius a su garder une certaine indépendance d'esprit qui lui a valu l'estime de ses contemporains, amis ou adversaires. S'agissant de la Chine, il apparaît qu'il n'a pas été inscensible au discours de Montesquieu. Helvétius, à l'évidence tout sensible aux analyses de Voltaire et des physiocrates, se met un peu en retrait par rapport à la sinophobie modérée de Montesquieu et, au nom de son refus du fatalisme climatique, admet chez la nation chinoise une force de caractère politique digne de l'esprit républicain. Il produit finalement un discours sur la Chine qui trahit les difficulté à trouver la cohérence. Il ne se sentait pas libre de remettre réellement en question la sentence 'la Chine est un gouvernement despotique'. Ce n'est pas qu'on le sente tenu par une dévotion particulière puisqu'il est capable d'avoir la dent très dure lorsqu'il s'agit de l'attaquer sur la question du climat ou de la typologie des gouvernements, mais il semble que le despotisme de la Chine soit un fait acquis à l'opinion publique et sur lequel il devient de plus en plus difficile de revenir.
5 1773
Goldsmith, Oliver. To the public. In : The Daily Advertiser (March 31, 1773). ). In : The miscellaneous works of Oliver Goldsmith. Vol. 1-4. (London : John Murray, 1837).
Er schreibt : "Lest it may be supposed, that I have been willing to correct in others an abuse of what I have been guilty myself, I beg leave to declare, that in all my life I never wrote or dictated a single paragraph, letter, or essay in a newspaper, except a few moral essays, under the character of a Chinese, about ten years ago, in the 'Ledger' and a letter, to which I signed my name, in the 'St. James's Chronicle.' If the liberty of the press, therefore, has been abused, 1 have had no hand in it."
6 1773
Unzer, Ludwig August. Über die chinesischen Gärten [ID D26926].
Unzer schreibt : "Die englische Nation, von der man mit Recht sagen kann, dass sie mehr als andere geneigt ist, das erhabene Schöne zu fühlen, hat sich schon längst von den Vorzügen des chinesischen Geschmacks im Gartenbau überzeugt". Die Schlangenlinie chinesischer Gärten sei Ausdruck geistiger Beweglichkeit : "Sie treiben die Neigung zu der schlangenförmigen Linie, welche ihnen mit Recht mehr Lebhaftigkeit und Bewegung als die Gerade zu haben scheint, so wei, dass sie nicht nur ihren Fusssteigen, ihren Felsentreppen, ihren Tälern und Kanälen, sondern sogar ihren Brücken diese Gesalt geben. Die chinesischen Künstler unterscheiden drey Gattungen von Aussichten oder Schilderungen, welche sie für geschickt halten, in Gärten angebracht zu werden. Erstlich angenehme, reizende und das Denken befördernde Vorstellungen, worunter sie sogar die Bilder einer sanften Schwermuth begreifen. Zweitens solche Gegenden, welche eine Art von Schrecken und Furcht einflössen ; und drittens solche, die dazu bestimmt sind, die Wirkungen des Erstaunens und einer täuschenden Bezauberung hervorzubringen. Zehnfache Echos, auf die geschickteste Art zusammengesetzt, machen einen solchen Aufenthalt vollkommen zur Begeisterung fähig. Wasserfälle stürzen ineinander, Ruinen abgebrannter Häuser dabei erhöhen das Gefühl des Schreckens. Aber auf grausige Szenen folgen sogleich anmutige, welche doch stets die Hauptidee des Gartens ausmachen. Den dunkeln und sanften Farben setzen sie blendende und lebhafte, den einfachen Formen zusammengesetzte entgegen. Endlich bilden sie durch eine Anordnung, bey der ihnen der Geschmack zur einzigen Regel dient, ein Ganzes, dessen Teile sehr merklich voneinander unterschieden sind, welches ist um so bedeutsamer, als wir lebendige Zeugnisse dafür heute kaum mehr besitzen : Unter allen Gärten, welche die Weltteile besitzen mögen, haben keine in der neueren Zeit ein solches Ansehen erhalten, als die chinesischen, oder das, was man unter diesem Namen reizend genug geschildert hat. Soviel ist gewiss, dass der Engländer von einem grossen Vorurteil für diese Gärten in China erfüllt ist, und dass der Franzose und mit ihm der Deutsche sich diesem Vorurteil zu überlassen anfängt. Man verlangt jetzt nicht etwa Gärten, die mit eigener Überlegung, mit besserem Geschmack als die alten angelegt wären, man verlangt chinesische oder chinesisch-englische Gärten."

Willy Richard Berger : Unzer wiederholt William Chambers' Ideal des Landschaftsgartens mit den bekannten Forderungen nach Mannigfaltigkeit, Abwechslung, Überraschung und nach dem Ineinander von Kunst und Natur. Wie Chambers favorisiert er besonders die Fusssteige und Felsentreppen, die schlangenförmig gewundenen Täler und Kanäle der chinesischen Gärten, und mehr noch als dieser betont er die Rolle des Wild-Pittoresken und Schaurigen dabei ; ganz offensichtlich hat er versucht, einiges von solchen Vorstellungen in der Landschaftsschilderung seiner Elegie zu realisieren.

Jörg Deuter : Der Essay verwendet die von Chambers eingeführte Terminologie, unterscheidet also im Chinesischen Garten die drei grundlegenden Kategorien 'the pleasing, the terrible and the surprising'.
7 1773
Mason, William. An heroic epistle [ID D27198].
"Knight of the Polar Star! by Fortune plac'd
To shine the Cynosure of British taste ;
Whose orb collects, in one refulgent view,
The scatter’d glories of Chinese Virth ;
And spread their lustre in so broad a blaze,
That Kings themselves are dazzled while they gaze..."

Horace Walpole schreibt dazu : "Sir William Chambers, who was far from wanting taste in architecture, fell into the mistake of the French, who suppose that the Chinese had discovered the true style in gardens long before Kent ; and in order to deprive him and England of the honour of originality, the French call our style the Anglo-chinois Garden : whereas, the Chinese wander as far from nature as the French themselves, tho in opposite extremes. Regularity, Uniformity, Formality and Sameness are the characteristics of all French gardens : Irregularity and Extravagance of the Chinese... The imitation of nature in gardens is indisputably English."

Wittkower, Rudolf. Allegorie und der Wandel der Symbole in Antike und Renaissance.(Köln : Dumont, 1984). (DuMont-Taschenbücher ; 142). Er schreibt : Obwohl Chambers' Buch [Dissertation on Oriental gardening] auf dem Kontinent einen gewaltigen Einfluss ausübte, galt es in England als Anachronismus ; es wurde angegriffen und lächerlich gemacht. Gewandt verlieh der Dichter William Mason der Stimmung des Publikums in seiner Satire 'An heroic epistle to Sir William Chambers' Ausdruck. Horace Walpole schrieb über diese Satire : "Ich lachte, bis mir die Tränen kamen, und je öfter ich sie las, desto besser gefiel sie mir."
8 1773
Colonial patriots boarded three British ships in the harbor and dumped some 350 chests of Chinese tea into Boston Harbor. Their action was a protestation of taxation without representation and the monopoly granted the East India Company.
9 1773
Joseph de Guignes wird Mitglied der Akademie der Inschriften und schönen Wissenschaften.
10 1773
Rosalie de Constant a visité le Palais de Saint-Cloud. Elle écrit : Nous pûmes voir l'appartement du duc Philippe d'Orléans. Le salon est fait à la chinoise. L'appartement de la duchesse de Chartres est aussi très joli, sa salle à manger est boisée et vernie en jaune avec de petits tableaux chinois enchâssés.
11 1773
Qianlong ordonna l'impression d'une bibliothèque des ouvrages les plus estimés en Chine qui devait se composer de 160'000 volumes. Les jésuites envoyèrent de Beijing ces éditions impériales qui font aujourd'hui l'ornement de la Bibliothèque nationale.
12 1774
Félix da Rocha wird Präsident des Mathematischen Amtes in Beijing.
13 1774
England versucht von Indien aus die wirtschaftliche Öffnung Tibets.
14 1774
Lenz, Jakob Michael Reinhold. Der neue Menoza oder Geschichte des cumbanischen Prinzen Tandi [ID D16014].
Willy Richard Berger : Es ist die Geschichte von Tandi, der in Wahrheit kein indianischer Prinz, sondern der Sohn eines deutschen Bürgerlichen ist, von diesem einst den Jesuiten überlassen wurde und so nach China kam, wo er durch verschiedene Glückswechsel auf den Thron gelangt. Lenz hat alle Elemente erbaulichen Moralisierens und religiöse Propaganda ferngehalten. Trotzdem ist in die Figur Tandis viel von radikalem Pietismus eingegangen. Er ist Gefühlsstürmen ausgesetzt, voller Empfindungen und mit einem rigorosen Zivilisationsekel ausgestattet. Beza, sein Gegenspieler, ist ein erklärter Feind aller Freuden des Lebens.
15 1774
Raynal, Guillaume Thomas François. Histoire philosophique et politique [ID D20030].
Raynal schreibt : "La Chine est le pays de la terre où il y a le moins de gens oisifs, le seul peut-être où il n'y en ait point."
"L'attente de la disette qui s'avance remplit tous les citoyens d'activité, de mouvement, et d'inquiétude. Il n'ya pas un instant qui n'ait sa valeur. L'intérêt doit être le mobile secret ou public de toutes les actions. Il est impossible que les mensonges, les fraudes, les vols ne se multiplient : les âmes y doivent être basses l'esprit y doit être petit, intéressé, rétréci et esquin."
"Dans cet Empire [la Chine] on distingue les ministres en deux classes, celle des penseurs et celle des signeurs. Tandis que la dernière est occupée du détail et de l'expédition des affaires, la première n'a d'autre travail que de former des projets ou d'examiner ceux qu'on lui présente. C'est la source de tous ces réglements admirables qui font régner à la Chine la législation la plus savante par l'administration la plus sage. Chez les Chinois on croit à l'autorié naturelle de la loi raisonnée."

Basil Guy : The last five chapters are summaries of commercial enterprise in the Middle kingdom, making special mention of the trade in tea, porcelains and silk, including the appropriately impressive figures of prices and quantities imported by the Dutch, British, and French. The first chapter begins in quite anodyne fashion like Salmon's or other brief descriptions of the Empire. Far from indulging in blind speculation over the antiquity of China and the validity of her annals, the author has preferred instead to examine such concrete facts as were then available regarding more practical considerations : government, politics, and especially morality. In its derision of China as en empire "très bien gouverné mais [où] les moeurs particulières sont très vicieuses", we have something more than a faithful reflection of contemporary prejudices regarding that far land, something more than the merely prating adulation to which we have become accustomed in eighteenth-century works treating of China. There is also an effort to consolidate the knowledge of the previous fifty years, knowledge whose practical details were largely derived from merchant contacts in China - no matter how unfavourable - and not from the abstract and treacherous vagaries of ecclesiastical minds in a European study.
Raynal makes a rather moving plea for the reasonable laws that preside over China's destiny. Even as he remarks in the chapter on government that China is a despotism, he seeks to qualify the term not one, but twice, saying that it is 'le despotisme des lois' and again, 'des lois par la raison'. Thus, he takes his stand with those old-fasioned defenders of the China that was and dares go against the practice, common in his day, or denigrating any and every political mode that came from the East. His insistence on the resonableness of Chinese procedure would lead the reader to believe that the following lines were intended as a defense of the Chinese system, eminently rational at a time when this quality seemed to be prized above all others - except in relation to the Orient in general.
16 1774
Goldsmith, Oliver. An history of the earth and animated nature [ID D26915].
Er schreibt u.a. :
Vol. 1, S. 59 : There are mountains in China, which have the appearance of the head of a dragon, a tiger, or a bear.
Vol. 1, S. 66 : So the Chinese earth, of which porcelain is made, is nothing more than an artificial composition of earth and water, united by heat ; and which a greater degree of heat could easily separate.
Vol. 1, S. 77 The larchest rivers in Asia are, the Hohan-ho, in China, which is eight hundred and fifty leagues in length, computing from its source at Raja Ribron, to its mouth in the gulf of Changi.
Vol. 1, S. 166 : The passion for couloured teeth obtains also in China and Japan ; where, to complete their idea of beauty, the object of desire must have litte eyes, mearly closed, feet extremely small, and a waist far from being shapely.
Vol. 1, S. 170 : The under jaw in a Chinese face falls greatly more backward than with us ; and I am told the difference is half an inch, when the mouth is shut naturally.
Vol. 1, S. 197 : The Chinese for instance, have neither flats nor sharps in their music ; but the intervals beween their other notes, are in the same proportion with ours.
Vol. 1, S. 202 : This fact was ascertained, in China, in 1784, when Kien Long ordered all the oldest men in the empire to be brought before him, when, out of a population of two hundred millions, only four persons could be found whose ages exceeded a hundred.
Vol. 1, S. 211 : That they come from the stock, is evident also from this, that the Tartars who settle in China, quickly resemble the Chinese ; and, on the contrary, the Chinese who settle in Tartary, soon assume the figure and the manners of the Tartars.
Vol. 2, S 112 : In China, where killing and dressing dogs is a trade, whenever one of these people move out, all the dogs of the village, or the street, are sure to be after him. This I should hardly have believed, but that I have seen more than one instance of it among ourselves.
17 1774
Mason, William. An heroic postscript to the public, occasioned by their favourable reception of a late Heroic Epistle to Sir William Chambers. (London : Printed for W. Wilson, 1774). = Satirical poems.
Er schreibt : "It was to deride the Corruption of true Taste, that the Heroic Epistle was written. To send us, when possessed of the Models established by Kent, Hamilton and Brown, to the vagaries of the Chinese, was exactly that passion for Pantomine that has been a reproach to our Theatre. To recommend the introduction of bears, monkeys, elephants etc. into our gardens was identically what has been practiced on our Stage ; & whether his Majesty or the Mob would be delighted with such sights at Kew or Drurylane, the idea is barbarous, and never to be admitted into our beautiful real landscpaes."
18 1774-1784
Huang Yadong hält sich in England auf.
He is described as Wang-y-Tong, who worked as a page in the John Frederick Sackville's household at Knole and attended the local Sevenoaks School. Huang Yadong is known to have visited the naturalists Mary Delany and the Duchess of Portland at the latter’s country seat of Bulstrode, discussing Chinese plants and their uses with them. He also visited the Royal Society, talked to Josiah Wedgwood about the manufacture of Chinese porcelain and explained the principles of acupuncture to the physician Andrew Duncan.
The man who was instrumental in enabling Huang to travel to England was John Bradby Blake, who was engaged in trade for the East India Company in Guangzhou. Blake was interested in the natural history of China and being stationed in Guangzhou enabled him to collect seeds and plants that had medicinal or economic uses and to send them back to Europe for propagation and research. Huang’s botanical knowledge made him a suitable conduit to supply firsthand information to British naturalists. Blake fell ill and died in Guangzhou just before Huang arrived in England, and his father, Captain John Blake, initially looked after the young Chinese man.
19 1774
Benjamin Franklin : To George Whatley (1774).
It was an excellent saying of a certain Chinese Emperor, I wil, if possible, have no Idles in my Dominions for if there be one Man idle, some other Man must suffer Cold and Hunger. We take this Emperor's Meaning to be, that the Labor due to the Public, by each Individual, not being perform'd by the Indolent, and necessary to furnish his Subsistence, must naturally fal to the share of others, who must thereby sufer.
20 1774-1789
Bau des Désert de Retz = Désert de Monsieur de Montville , ein Jardin anglo-chinois bei Chambourcy durch François Nicolas Henri Racine de Montville.
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sert_de_Retz#/media/File:
%C3%A9sert_de_Retz,_le_Pavillon_chinois.jpg
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