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Chronology Entries

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1 2005
Denis Twitchett wird zum Senior Scholar der University of Princeton gewählt.
2 2005-2008
David S.G. Goodman ist Mitglied des Management Committee einer joint venture des Sydney Institute of Language and Commerce der Shanghai-Universität.
3 2005
Anthony C. Yu ist Distinguished Lecturer des Institute of Chinese Literature and Philosophy der Academia Sinica ; Distinguished Lecturer des Asia Research Institute und Wu Teh Yao Lecturer der National Singapore University.
4 2005-2006
Glen Dudbridge ist Mitglied des SOAS Library Strategy Committee.
5 2005-2007
Robert Joe Cutter ist Vorsteher des Department of Languages & Literatures der Arizona State University, Tempe.
6 2005-
Geremie R. Barmé ist Federation Fellow des Australian Research Council.
7 2005
Bonnie S. McDougall ist Visiting Professor am Institute of Chinese Studies der The Chinese University of Hong Kong.
8 2005-2006
Michael H. Hunt ist Mitglied des China Search Committee der University of North Carolina at Chapel Hill.
9 2005-
Ellen B. Widmer ist Mitglied des Editorial Board von Nan nü : men, women and gender in China.
10 2005-2008
Wendy Larson ist Mitglied des China Council der Association for Asian Studies.
11 2005
Judith A. Berling ist Guest Lecturer am Institute for Study of Asian Cultures and Theologies in Hong Kong.
12 2005
Wm. Theodore de Bary hat ein Tang Junyi Honorary Lectureship an der Chinese University in Hong Kong.
13 2005-
Wolfgang Behr ist Mitglied des Editorial board von Languages of Asia.
14 2005-
Lisa Rofel is Professor of Anthropology der University of California, Santa Cruz.
15 2005-2012
Kenneth Dean ist Mitglied des Editorial Board des Journal of Daoist studies.
16 2005-2006
Anthony C. Yu ist Siu Lien Ling Wong Visiting Fellow des Chung Chi College der Chinese University of Hong Kong.
17 2005-
Donald S. Lopez ist Direktor des Institute for the Study of Buddhist Traditions der University of Michigan.
18 2005-2006
Maurizio Scarpari ist Vorsitzender der Ca'Foscari Formazione, Venezia.
19 2005
Tsai, Shilling Stéphanie. La construction d'un mythe moderne : André Malraux et Maurice Blanchot.
L'oeuvre d'André Malraux n'a pas rencontré à Taiwan un accueil aussi chaleureux que celui qu'on avait réservé à J.P. Sartre, son contemporain. Dans une enquête sur la réception de la littérature française à Taiwan durant les cinquante dernières années (de 1950 à 200l)1, nous n'avons compté que dix articles consacrés à Malraux, y compris un mémoire de maîtrise. Cette occultation masque peut-être un déni politique et idéologique, mais ce n'est pas notre intention d'en analyser la cause. Ce qui nous intéresse dans les articles publiés à Taiwan, c'est la révélation de deux images plutôt opposées de Malraux: d'un côté, un
f humaniste qui a réussi à esquisser la description d'une condition humaine mettant en valeur la grandeur universelle de l'homme ; de l'autre, un révolutionnaire qui tente, par sa conception de l'art, de mettre toutes les civilisations humaines dans le même cadre sans prendre en considération les contextes socio-historiques.
Dans son article intitulé «Révolutionnaire et romancier amateur : le grand écrivain du XXème siècle André Malraux»2, Henh-Jei Chin explique pourquoi Malraux a été mal reçu à Taiwan. D'abord, Malraux serait difficile à traduire en chinois en raison de la complexité de ses phrases et des émotions enchevêtrées qu'elles recèlent. Ensuite, la réflexion métaphysique (notamment sur la mort) s'éloignerait trop de la pensée chinoise. Enfin, l'on entendrait la voix de Malraux derrière tous ses héros romanesques; les réactions, les perspectives et même la manière d'éprouver l'horreur seraient toutes d'un mode « occidental,» ou plus précisément, « malrucien ». D'après Chin, Malraux regarderait en réalité l'archétype de l'Homme, selon une tradition européenne ancrée dans la civilisation gréco-romaine et le christianisme, ce qui rendrait difficile pour les lecteurs chinois l'appréhension de son oeuvre.
Le problème de la réception de Malraux à Taiwan ne résie pas dans la compréhension exacte du message transmis par Malraux. Ce qu'il s'agit de voir, c'est la manière dont le discours de Malraux construit le 'mythe' de la vie à partir de la mort et la manière dont le mythe aide à formuler l'idée de 'communauté', avec tous les codes de signification qui s'y rattachent. Il nous semble que la notion de la mort propre est la clé permettant d'entrer au coeur de ses discours.
20 2005-2007
John W. Chaffee ist Mitglied des Executive Board der New York Conference on Asian Studies.

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