# | Year | Text |
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1 | 2001- |
Joël Bellassen ist Professeur des universités au département Chine des Institut national des langues et civilisations orientales.
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2 | 2001-2006 |
Arif Dirlik ist Knight Professor of Social Science, Professor of History and Anthropology am History Department der University of Oregon, Direktor des Center for Critical Theory and Transnational Studies.
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3 | 2001- |
Haun Saussy ist Mitglied des Advisory Board des of the Museum of Far Eastern Antiquities.
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4 | 2001- |
Christian Henriot ist Herausgeber des European journal of East Asian studies.
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5 | 2001- |
Lothar von Falkenhausen ist Mitglied des Editorial Board des Bulletin of the Museum of Far Eastern antiquities.
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6 | 2001- |
William S. Tay ist Mitglied des Advisory Board der Cultural studies series er University of Hong Kong Press.
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7 | 2001 |
Karine Chemla ist Directrice de l'équipe REHSEIS, Université Paris 7.
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8 | 2001-2003 |
Barry J. Naughton ist Associate Dean der Graduate School of International Relations and Pacific Studies der University of California, San Diego.
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9 | 2001 |
Zheng, Jiadong. Duan lie zhong de chuan tong : xin nian yu li xing zhi jian [ID D17377].
Zheng schreibt : Da die marxistische Philosophie zum vorherrschenden Denken geworden war, nahm in den Jahrzehnten nach der Gründung der VR China Hegels Philosophie unter unsern Philosophen ebenfalls eine herausragende Stellung ein. Besonders beachtenswert aber ist dabei die Rolle, die Hegels Philosophie in der Philosophischen Lehre und Forschung spielte : In gewissem Sinne lässt sich sagen, dass die Lektüre und das Begreifen der Hegelschen Werke den einzigen Weg in der Ausbildung darstellte und der Grad des Hegel-Verständnisses darüberhinaus eine bestimmte philosophische Bildung und Gedankentiefe symbolisierte. Hegels Denkweise wurde auch fast zur einzigen, die übernommen und anerkannt werden konnte. Bis zu den 80er Jahren schrieen einige lauthals 'zurück zu Kant', tatsächlich waren sie aber tief im Innern immer noch Hegelianer ; so bestand die sogenannte Reform des Systems der marxistischen Philosophie in den 80er Jahren weitgehend darin, Hegel auf Neue zu verarbeiten und zu assimilieren. Diese Sonderstellung von Hegels Philosophie hatte natürlich seine politischen und kulturellen Gründe, war aber andererseits auch untrennbar mit der Übersetzungs- und Forschungsarbeit von He Lin und anderen verbunden. |
10 | 2001 |
Gründung des Institute for Chinese Studies, Ohio State University, Columbus.
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11 | 2001 |
Das Dipartimento di studi orientale, Università di Roma ändert den Namen in Facoltà di studi orientali, Università degli studi di Roma "La Sapienza".
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12 | 2001 |
David K. Jordan nimmt an der Pacific Neighborhood Conference in Hong Kong teil.
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13 | 2001 |
Dorothy J. Solinger forscht für das Projekt China's entry into the world trade organization in comparative perspective.
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14 | 2001- |
James Z. Lee ist Adjunct Professor an der Beijing-Universität.
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15 | 2001-2005 |
Christian Lamouroux ist Mitglied des Conseil d'administration und der Commission budget der Ecole des hautes études en sciences sociales.
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16 | 2001-2004 |
Franciscus Verellen ist Leiter der Ecole française d'Extrême-Orient in Hong Kong und unterrichtet an der Chinese University.
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17 | 2001 |
Jonathan Chaves wird Columbian School Professor der George Washington University.
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18 | 2001 |
Zhang, Deming. Xuan xue pai shi ren de nan quan yi shi yu zhi min hua yu [ID D30994].
Maintains that male chauvinism and colonialism are closely related in Donne's poetry and discusses ElBed as an example. Comments on how Donne’s view was shaped by his life and by contemporary society. |
19 | 2001 |
Yu Bin : En Chine, le nom d'André Malraux est beaucoup moins célèbre que celui de Sartre, Camus, Simone de Beauvoir etc., et même moins connu que celui d'Henri Barbusse et de Louis Aragon. Il n'a jamais été le centre d'intérêt du monde littéraire chinois, et aucune preuve n'atteste qu'un écrivain chinois ait été influencé par lui. Bien que plusieurs de ses ouvrages prennent la Chine comme fond historique, les lecteurs chinois le connaissent très peu. Les spécialistes de littérature française et de littérature comparée sont-ils ceux qui montrent le plus d'intérêt pour Malraux, mais dans ce cercle restreint, pendant longtemps, il n'arriva pas à attirer l'attention des chercheurs chinois. Les articles à son sujet se contentant pour la plupart de l'introduire sommairement. Actuellement, son nom apparaît souvent dans des revues, et attire l'attention d'une partie de lecteurs, mais ceux-ci s'intéressent évidemment plus à sa carrière légendaire qu'à son oeuvre, autrement dit, il revient à l'horizon des lecteurs chinois comme un romancier mythique, non comme un romancier célèbre. On peut presque être sûr que, dans le futur, l'oeuvre de Malraux romancier continuera à tomber dans l'oubli, alors que sa biographie sera mieux reçue que ses romans.
Les conquérants, La condition humaine et L'espoir traitent tous les grands événements historiques de ce siècle. Dans un contexte où la littérature occidentale contemporaine se tourne généralement vers « le petit monde » individuel, sa description du « grand monde » à la manière d'une quasi épopée semble éclatante. Bien que des romans s'écartent de temps en temps du réalisme traditionnel, sa technique est globalement réaliste. Il va sans dire que Malraux a des sympathies révolutionnaires. Cependant, il n'arrive pas à éviter la critique politique. A cette époque-là, Malraux était un personnage actif et politique, son attitutde était jugée en Chine non seulement douteuse, mais aussi pour ainsi dire réactionnaire. Evénements clés de l'histoire du Parti Communiste Chinois, la Grande Grève de Sheng Gang et le coup d'Etat du 12 avril 1927 sont des sujets historiques sérieux dont l'interprétation et l'évaluation sont déterminées par les résolutions des instances les plus élevés du P.P.C., et l'écriture littéraire doit s'y conformer. Plus le sujet traite de questions historiques, plus on sera exigeant envers son contenu idéologique. Même si Malraux a des sympathies révolutionnaires, il a évidemment interprêté la révolution chinoise à sa façon. Sans parler de la tradition chinoise évoquée ci-dessus, son interprétation ne pouvait absolument pas être acceptée. Donc, contrairement à ce que l'on pouvait imaginer, à cette époque particulière, choisir la révolution chinoise comme sujet, loin de susciter un accueil chaleureux, a créé un obstacle pour le rapprochement des lecteurs chinois. « La littérature ample et puissante » de Malraux, compte tenu des mentalités de l'époque, paraît vide de sens, exagérée, et même hors de propos. En fait, l'oeuvre de Malraux ne manque ni d'interrogations existentielles (l'absurdité de la condition humaine est même son thème essentiel), ni de préoccupations individuelles ; pourtant, les lecteurs chinois préfèrent en découvrir le traitement manifeste chez Camus et Sartre que d'en chercher le noyau latent dans la symphonie révolutionnaire tapageuse de Malraux. D'autre part, comparé à Camus et aux écrivains du Nouveau Roman, Malraux semble conservateur et dépassé en matière d'art littéraire, n'offrant pas la fraîcheur suffisante et donc pas l'inspiration suffisante aux écrivains chinois. Lorsque les écrivains d'avant-garde se sont lancés dans diverses espérimentations artistiques, Malraux n'était sûrement pas un exemple à suivre : cela l'a condamné à l'anonymat en Chine. Les chercheurs chinois semblent incapables de franchir le seuil du réalisme. Par exemple, ils lisent d'abord les deux romans Les conquérants et La condition humaine comme des récit de l'histoire révolutionnaire chinoise. Les Chinois s'obstinent à lire un roman comme s'ils lisaient l'histoire. Le réalisme européen, rapidement accepté dès son introduction en Chine, est devenu l'école principale, ceci étant évidemment lié à l'imprégnation de la tradition historique chinoise dans la littérature. Puisque les romans de Malraux se sont inspirés d'événements historiques importants de la révolution chinoise, les critiques chinois ont naturellement utilisé la règle réaliste. Ainsi, la première question à résoudre avant d'analyser et d'évaluer l'oeuvre de Malraux était celle-ci : « ses romans ont-ils reflété la vérité historique ? Et dans quelle mesure ? » Pourtant La réponse est décevante, car sa description de la révolution chinois lui est très personnelle. A l'exception de quelques noms de personnages vraisemblables, il n'y a presque aucun lien avec la réalité chinoise. Même si les noms réels de lieux, de personnages et des événements historiques servent de point de repère, les tableaux que Malraux a décrits, son contexte et ses personnages sont néanmoins difficiles à reconnaître pour les lecteur chinois. Il n'a presque pas décrit de vrai révolutionnaire, ni de vrai Chinois. Les figures de révolutionnaires et du peuple chinois sous sa plume sont vraiment lointaines de la réalité ». On ne peut pas dire que Malraux n'avait aucun intérêt pour la Chine ; sa préoccupation pour la Chine avait un sens plutôt abstrait. Il a prêté une grande attention à la « condition humaine », mais « l'homme » ici signifie l'humanité, pas spécifiquement les Chinois, mais tout aussi bien les Occidentaux. Ce qui est significatif, c'est que son contexte et sa conscience des problèmes sont tous deux venus d'Occident. La preuve en est que les problèmes auxquels se trouvent confrontés ses personnages, tels que l'absurdité de la vie, la solitude de l'homme, l'incommunicabilité et le partage impossible des sentiments, etc., sont tous des problèmes symptomatiques de l'Occident moderne dont les Occidentaux ont pris une nette conscience et dont ils étaient très souvieux ; cependant, ce genre de problèmes était alors inconnu des Chinois. Etant donné que le reste de la production littéraire de Malraux et ses mémoires n'ont pas encore été introduits à la Chine, il est difficile de prévoir son destin en Chine dans le futur. |
20 | 2001 |
Jonathan D. Spence erhält den Distinguished Order of St. Michael and St. George der Königin von England.
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