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1 1802
Montesquieu, Charles de Secondat de. Von den Sinesen [ID D17260].
Herder schreibt : Die Sinesischen Gesetzgeber gingen weiter als Lyturg ; Religion, Gesetze, Sitten und Lebensweise mischten sie in einander. Die Vorschriften, welche diese vier Hauptpunkte betrafen, nannte man heilige Gebräuche ; auf der genauen Beobachtung dieser Gebräuche beruhete die Sinesische Regierung. Mit Erlernung derselben brachte man seine Jugend zu und verwandte seine ganze Lebenszeit darauf, sie in Ausübung zu bringen. Die Gelehrten gaben darinn Unterricht, die Obrigkeiten predigten sie ; und da sie alle kleine Handlungen des Lebens umfassten, so wurde, wenn man Mittel fand, sie genau ins Werk zu richten, Sina gut regieret. Zwei Dinge halfen dazu, diese Gebräuche dem Herzen und Geist der Sineser leicht einzuprägen. Das erste ist ihre Schreibart. Da diese äusserst zusammengesetzt ist, so machte sie, dass während einem grossen Theil des Lebens der Geist einzig beschäftigt war, diese Gebräuche kennen zu lernen, weil man lesen lernen musste, um in Büchern und aus Büchern diese Gebräuche zu lernen. Das zweite war, dass diese Gebräuche nichts Geistiges enthielten, sondern blos Regeln einer gemeinen Ausübung waren ; so trafen sie den Geist leichter und griffen tiefer in ihn ein, als wenn sie etwas Intellectuelles gewesen wären. Daher verlohr Sina seine Gesetze nicht, als es erobert ward. Da Lebensart, Sitten, Gesetze und Religion bei ihnen Eins und Dasselbe waren, so liess sich dies Alles nicht auf Einmal ändern ; und da doch Einer, entweder der Ueberwundene oder der Ueberwinder ändern musste : so war es in Sina immer der letzte. Denn weil seine Lebensart und Sitten, seine Gesetze und Religion nicht Eins waren, so ward es ihm leichter, sich nach und nach dem überwundnen Volk, als diesem sich ihm zu bequemen. Daher auch das Christenthum schwerlich je in Sina aufkommen wird. Die Gelübde der Jungfrauschaft, die Versammlungen der Weiber in den Kirchen, ihr nothwendiger Zusammenhang mit den Dienern der Religion, ihre Theilnahme an den Sacramenten, die Ohrenbeicht, die letzte Oelung, die Heirath einer einzigen Frau ; Alles dies kehrt die Lebensart und Sitten des Landes um und stösst eben so sehr gegen Religion und Gesetze des Reichs an. Die christliche Religion durch ihr Gebot der Liebe, durch ihren öffentlichen Gottesdienst, durch eine gemeinschaftliche Theilnehmung an den Sacramenten scheint alles vereinigen zu wollen ; die Gebräuche der Sineser wollen, dass sich alles sondre. Und da diese Sonderung am Geist des Despotismus hängt, so wird damit auch Eine der Ursachen klar, warum die Monarchie oder eine gemässigte Regierung sich mit dem Christenthum besser vertrage, als der Despotismus.

Lee Eun-jeung : Herder erkennt durchaus die Absichten, die Tendenz zur Universalität und die begriffliche Einheit in Montesquieus Denken an, übernimmt auch seine Kategorien und seine Klimatheorie, meint dann aber, dass Montesquieu etwas vorschnell systematisiert habe, da es ihm noch an der notwendigen umfassenden Empirie und deshalb an der Berücksichtigung aller Individualitäten fehlte. So können die Grundsätze Montesqueus den feineren Nuancen der Regierungsformen sowie den zeitlichen Veränderung nicht gerecht werden.
2 1802
Chateaubriand, François-Fené de. Génie du christianisme [ID D22989].
Er schreibt : "Le Jésuite qui partait pour la Chine, s'armait du télescope et du compas. Il paraissait à la cour de Pékin avec l'urbanité de la cour de Louis XIV, et environné du cortège des sciences et des arts. Déroulant des cartes, tournant des globes, traçant des sphères, il apprenait aux mandarins étonnés, et le véritable cours des astres, et le véritable nom de celui qui les dirige dans leurs orbites. Il ne dissipait les erreurs de la physique que pour attaquer celles de la morale ; il replaçait dans le coeur, comme dans son véritable siège, la simplicité qu'il bannissait de l'esprit ; inspirant à la fois, par ses moeurs et son savoir, une profonde vénération pour son Dieu, et une haute estime pour sa patrie."
"Lorsque les Jésuites firent paraître la correspondance connue sous le nom de Lettres édifiantes, elle fut citée et recherchée par tous les auteurs. On s'appuyait de son autorité, et les faits qu'elle contenait passaient pour indubitables. Mais bientôt la mode vint de décrier ce qu'on avait admiré. Ces lettres étaient écrites par des prêtres chrétiens : pouvaient-elles valoir quelque chose ? On ne rougit pas de préférer, ou plutôt de feindre de préférer aux Voyages des Dutertre et des Charlevoix ceux d'un baron de La Hontan, ignorant et menteur. Des savants qui avaient été à la tête des premiers tribunaux de la Chine, qui avaient passé trente et quarante années à la cour même des empereurs, qui parlaient et écrivaient la langue du pays, qui fréquentaient les petits, qui vivaient familièrement avec les grands, qui avaient parcouru, vu et étudié en détail les provinces, les moeurs, la religion et les lois de ce vaste empire, ces savants, dont les travaux nombreux ont enrichi les Mémoires de l'Académie des Sciences, se virent traités d'imposteurs par un homme qui n'était pas sorti du quartier des Européens à Canton, qui ne savait pas un mot de chinois et dont tout le mérite consistait à contredire grossièrement les récits des missionnaires. On le sait aujourd'hui, et l'on rend une tardive justice aux Jésuites. Des ambassades faites à grands frais par des nations puissantes nous ont-elles appris quelque chose que les Duhalde et les Le Comte nous eussent laissé ignorer, ou nous ont-elles révélé quelques mensonges de ces Pères ?
En effet, un missionnaire doit être un excellent voyageur. Obligé de parler la langue des peuples auxquels il prêche l'Evangile, de se conformer à leurs usages, de vivre longtemps avec toutes les classes de la société, de chercher à pénétrer dans les palais et dans les chaumières, n'eût-il reçu de la nature aucun génie, il parviendrait encore à recueillir une multitude de faits précieux. Au contraire, l'homme qui passe rapidement avec un interprète, qui n'a ni le temps ni la volonté de s'exposer à mille périls pour apprendre le secret des moeurs, cet homme eût-il tout ce qu'il faut pour bien voir et pour bien observer, ne peut cependant acquérir que des connaissances très vagues sur des peuples qui ne font que rouler et disparaître à ses yeux.
Le Jésuite avait encore sur le voyageur ordinaire l'avantage d'une éducation savante. Les supérieurs exigeaient plusieurs qualités des élèves qui se destinaient aux missions. Pour le Levant, il fallait savoir le grec, le copte, l'arabe, le turc, et posséder quelques connaissances en médecine ; pour l'Inde et la Chine, on voulait des astronomes, des mathématiciens, des géographes, des mécaniciens ; l'Amérique était réservée aux naturalistes [Voyez les Lettres édifiantes et l'ouvrage de l'abbé Fleury sur les qualités nécessaires à un missionnaire]. Et à combien de saints déguisements, de pieuses ruses, de changements de vie et de moeurs n'était-on pas obligé d'avoir recours pour annoncer la vérité aux hommes ! A Maduré, le missionnaire prenait l'habit du pénitent Indien, s'assujettissait à ses usages, se soumettait à ses austérités, si rebutantes ou si puériles qu'elles fussent ; à la Chine, il devenait mandarin et lettré ; chez l'Iroquois, il se faisait chasseur et sauvage. Presque toutes les missions françaises furent établies par Colbert et Louvois, qui comprirent de quelle ressource elles seraient pour les arts, les sciences et le commerce. Les pères Fontenay, Tachard, Gerbillon, Le Comte, Bouvet et Visdelou, furent envoyés aux Indes par Louis XIV : ils étaient mathématiciens, et le roi les fit recevoir de l'Académie des Sciences avant leur départ."
"La Chine nous fut connue comme la France ; nous eûmes les manuscrits originaux et les traductions de son histoire ; nous eûmes des herbiers chinois, des géographies, des mathématiques chinoises ; et pour qu'il ne manquât rien à la singularité de cette mission, le père Ricci écrivit des livres de morale dans la langue de Confucius et passe encore pour un auteur élégant à Pékin."
"Si la Chine nous est aujourd'hui fermée, si nous ne disputons pas aux Anglais l'empire des Indes, ce n'est pas la faute des Jésuites, qui ont été sur le point de nous ouvrir ces belles régions. Ils avaient réussi en Amérique, dit Voltaire, en enseignant à des sauvages les arts nécessaires ; ils réussirent à la Chine en enseignant les arts les plus relevés à une nation spirituelle."
"Si tu pouvois, par un seul désir, tuer un homme à la Chine, et hériter de sa fortune en Europe, avec la conviction surnaturelle qu'on n'en sauroit jamais rien, consentirois-tu à former ce désir ? J'ai beau m'exagérer mon indigence ; j'ai beau vouloir atténuer cet homicide, en supposant que, par mon souhait, le Chinois meurt tout à coup sans douleur, qu'il n'a point d'héritier, que même à sa mort ses biens seront perdus pour l'état ; j'ai beau me figurer cet étranger comme accablé de maladies et de chagrins ; J'ai beau me dire que la mort est un bien pour lui, qu'il l'appelle lui-même, qu'il n'a plus qu'un instant à vivre : malgré mes vains subterfuges, j'entends au fond de mon coeur une voix qui crie si fortement contre la seule pensée d'une telle supposition, que je ne puis douter un instant de la réalité de la conscience."
3 1802-1804
Jean-Baptiste Piron ist Konsul des französischen Konsulats in Guangzhou.
4 1802-1815
Edward Carrington ist als Kaufmann in Guangzhou.
5 1803
Julius von Klaproth bekommt die Oberaufsicht der Fürstlichen Bibliothek in Weimar und Jena, sowie
über das Jenaer Museum.
6 1803
Erste Synode in Chongqing (Sichuan). Jean-Gabriel-Taurin Dufresse nimmt daran teil.
7 1803
João Maolano wird Prokurator der Dominikaner in China..
8 1803
José Ribeiro Nunes wird Superior der Dongtang in Beijing, die Ernennung erfolgt 1805.
9 1803-1845
Nicolau-Rodrigues Pereira de Borja ist als Priester und Professor im Seminar St. Joseph in Macao tätig.
10 1803
Herder, Johann Gottfried. Christianisirung des Sinesischen Reiches [ID D17255].
Herder schreibt : Der Anfgang des vorigen Jahrhunderts fand die Europäischen, besonders die Römischen Christen in grosser Erwartung ; ein Welttheil, wie das Kaiserthum Sina ist, der schlaueste Welttheil Asiens, war auf dem Punkt, christlich zu werden, oder war, (so glaubten viele,) es schon geworden. Welch ein Gewinn, sagte man, für den Himmel ! Welch ein Gewinn für Europa in Ansehung der Wissenschaften und – des Handels ! Zu bald zerging diese Hoffnung. Frühe nämlich war das Christenthum schon in das ferne Sina gedungen, und hatte daselbst in die Religion der Bonzen wahrscheinlich mitgewirket. In der neueren Jahrhunderten, seit Missionen nach Asien geschäftig waren, hatte es, der Verschlossenheit des Landes ungeachtet, auch bisher an Emissarien nicht gefehlet. Insonderheit waren die Jesuiten eben so klug, als thätig ; sie ergriffen das einzige und edelste Band, das sie mit Kaiser und Reich verknüpfen konnte, das Band der Wissenschaften, der Künste. Versagen kann man ihnen den Ruhm nicht, dass seit dem Pater Ricci, der ihr Ansehen dort eigentlich gründete, sie eine Rehe gelehrter, weltkluger, unverdrossener Männer dahin gefördert, die auch Europa mit Känntnissen dieses grossen Reichs und seiner anliegenden Länder, mit Känntnissen ihrer Sprache und Bücher, ihrer Verfassung und Gebräuche sehr bekennt gemacht haben. In Europa selbst kennen wir manchen Staat weniger als Sina. Nun war zwar währender Vormundschaft des unmündigen Kaisers Kang-hi [Kangxi] durch einmüthigen Schluss der Reichstände das Christenthum für falsch und dem Reich schädlich erklärt, auch bei Leibes- und Lebensstrafe verboten. Den angesehensten Vorsteher desselben, den Jesuiten Schall, hatte man ins Gefängniss gelegt und die Verfolrung gegen christliche Mandarine weit getrieben. Seit Kann-hi [Kangxi] selbst aber auf den Thron kam und aus Liebe zu den Europäischen Wissenschaften auch ihre Lehrer liebte, seit Er im Jahre 1692 die christliche Religion für gut, seinem Reich heilsam, seinen Unterthanen erlaubt erklärt hatte, den Jesuiten eine prächtige Kirche baute, eine Gesandtschaft an den Papst schickte u.f. ; in wie grosser Hoffnung lebte man ! die Bekehrung des Kaisers und nach ihm des ganzen Reichs erwartend. Diese folgte nun zwar bis an seinen Tod nicht ; da die fremde Religion indess während seiner langen Regierung im Reich geblühet hatte und der Kaiser, trotz aller Feindseligkeiten, die andere Orden den Jesuiten durch den Römischen Hof selbst erregten, seinen Freunden treu geblieben war, so hoffte und wirkte man fort. Unglaublich ist die Geduld, die der Monarch gegen die Eingriffe Roms in die Rechte seiner Herrschaft erwies, indem er sie jederzeit nur gesetzmässig zurücktrieb oder lähmte, übrigens aber den Papst für „unverständig erklärte, dass er in einem ihm fremden Lande gebieten wolle, und über gesetzliche Gebräuche seines Reichs dem Kaiser selbst nicht glaube. Durch wie kleinfügige Streitigkeiten machte man die grosse Unternehmung zunicht, um welche sich damals die Jesuiten so viele und so feine Mühe gaben ! da sie blos ein Ceremoniel betrafen. Tien z.B. heisst der Himmel in jener Sprache, mit welchem Wort die Sinesen auch Gott benennen ; statt dessen sollten sie christlich Tien-Chu, „Herr des Himmel“ sagen. Die Ehre, die man dem Andenken des grossten Lehrers der Nation, Kung-tse (den wir Confuicus nennen) und dem Andenken der Vorfahren überhaupt nach einem unverbrüchlich gesetzlichen Landesgebrauch erwies, sollte theils abgeschafft, theils verändert, von den Täfelchen der Vorfahren z.B. die Überschrift ausgelassen und nur der Name derselben darauf bemerkt werden u.f. Welche unselige Mühe man sich über Dinge dieser Art gemacht : wie bittre Streitigkeiten darüber geführt, welche Bibliotheken für und wider geschrieben worden, wäre unglaublich, wenn es nicht vor Augen läge, so dass der Papst selbst zuletzt alles Chreiben darüber verbieten musste. Und welche Gesandtschaften von Rom nach Sina, von Sina nach Rom ! welche Congregationen in Rom ! welche Machinationen in Sina ! da dann wie gewöhnlich die Französischen Fechter die lautesten, die Italiäner, Mezzabarba z.B. die vorsichtigeren waren, indem jene sich den Sitten dieses Reichs zuwider eben so unklug als unverständig benahmen, überhaupt aber in Rom selbst die Sache sehr unsinesisch behandelt ward. Könnt ihr die Sprach-Organe einer Nation ändern ? Wenn der Sinese z.E. den Namen Maria nicht aussprechen kann, weil ihm Buchstaben in seinem Alphabet fehlen, die er nach seiner von Kindheit an gewohnten Mundart verändert, wer will es ihm wehren ? Eben so wenig könnet ihr seine Vorstellungsart ändern, die an Gebräuchen und Ceremonien haftet : denn auch diese sind eine Sprache und in Sina mit dem Staat sowohl als der Moral innig verwebet. Vom kindlichen Gehorsam gehet dort alles aus. Durch alle Stände bis zum Oberhaupt des Staats, ja bis auf die entferntesten Vorfahren verbreiten sich diese Ceremonien und Pflichten. Ihre Buchstaben, ihre Regeln und Sprüche, ihre clasischen Bücher, ihre häuslichen und öffentlichen Gebräuche, ihre Lebens- und Staatsweise ist auf dies Principium gegründet, ist darnach geordnet. Entweder musste also der christliche Katechismus den heiligen Büchern gemäss, d.i. clasisch gemacht werden, oder er blieb der Nationa unverständlich, unannehmlich. So auch mit den Gebräuchen. Der an sein Land, an die Sitten seiner Vorfahren gefesselte, von aller Welt abgeschlossene Sinese ist ganz ein Sinese und wird es wahrscheinlich noch Jahrtausende hinab bleiben. Sobald Kang-hi [Kangxi] starb, verbot sein Nachfolger Yong-tsching [Xongzheng] das Christenthum, liess im ganzen Reich, Pekin ausgenommen, die Kirchen niederreissen, und verfolgte die Christen, deren Anzahl die Jesuiten damals auf 300'000 angaben. Der Kaiser schrieb selbst einen Unterricht in der Religion für sein Reich. Der gute Kein-long [Qianlong], Nachfolger Yong-tschings, der seit 1734 das Jahrhundert hinaus eben so billig und gerecht, als klug regiert hat, liebte zwar, die Wissenschaften der Europäer, so fern sie ihm in seinem Reich nützlich schienen, deuldete auch das Christenthum in Pekin, ja gab einigemal günstige Befehle für die Christen in den Provinzen. Da diese aber immer gemissbraucht wurden, schloss er endlich die Kirchenfreiheit auf einige bestimmte Plötze seiner Residenz ein, hielt den fremden Gottesdienst, als gefährlich, unter strengem Gehorsam seiner Reichsgesetze, und liess die Fremden überhaupt nie ohne sorgsame Aufsicht. So lange die Beherrscher Sina’s wie Kine-long denken, wird kein Europäischer Cultus in Sina aufkommen, zumal der nicht, der sich durch Anmaassungen und Unruhen dem Reich so feindlich gezeigt hat. Auch wie viel Verbannungen, Gefängnissen und Stockschlägen christlichgewordner Mandarine sind die fremden Bekehrer Schuld gewesen ! Und wofür litten diese Bekehrte ? Für fremde Worte und Gebräuche.
Der einzige Gewinn, der Europa durch diese Bemüungen worden ist, sind Känntnisse, die gewissermasse die Ost- und Westwelt binden. Französischen und Deutschen Jesuiten, den Vätern Gerbillon, Gruber, Couplet, Noel, Verbiest, du Hale, Amiot u.f. haben wir Mancherlei zu danken, wodurch Geist und Fleiss Europäischer Gelehrter zum Studium der dortigen Sprache und Literatur, der dortigen Zeitrechnung, Astronomie, Geschichte, Naturgeschichte u.f. erweckt sind. Der einzige Deguignes hat hierüber so viel geleistet, als eine Sinesische Akademie ; auch die von Paw erregten Streitigkeiten über die Sineser haben durch die Beantwortungen der Väter von dort aus zu mehrerem Licht geleitet. Die Philosophie, vorzüglich die politische Sittenlehre jener Nation hat in Europa vielen Beifall gefunden ; Leibnitz, Bilfinger, Wolf nahmen sich ihrer in Deutschland an, der letzte fast mit einem ihm sonst ungewohnten Enthusiasmus. In Frankfreich sind die classischen Bücher der Sinesen in jedem Format erschienen, wie sich denn die SinesischeWeisheit in Französischer Sprache beredt und artig ausnimmt. Die Belehrungen der Kaiser an ihr Volk, die Antworten derselben an ihre Staatsdiener sprechen of so väterlich als majestätisch, und das Lob der reinsten Sitten-Vernunft kann man ihnen schwerlich versagen. Wer sich über den Fortgang der Europäischen Wissenschaften in Sina am lebhaftesten gefreuet hatte, war Leibnitz ; der grosse Mann sah ihre Verpflanzung aus der West- in die Ostwelt mit dem umfassenden Blick an, der dieser Erscheinung gebührte. Den Umsturz seiner Hoffnungen erlebte er nicht ; in den Streitigkeiten, die ihn vorbereiteten, war er stets auf Seiten der vernünftigen, billigen, gelinderen Meinung.
Was lehret dieses Ereigniss, das so weit aussehende Hoffnungen auf Einmal hinwarf ? Die bekannte Regel der Nemesis : "wodurch Jemand sündigt, dadurch wird er gestraft". Despotische Macht stritt hier gegen despotische Macht, Gebräuche gegen Gebräuche ; natürlich mussen in Sina die Römischen unter den alten ewigen Reichsgebräuchen, die Macht des Römischen Bischofs unter der Gewalt des Kaisers, der Oberpriester seines Reichs, ein Sohn des Himmels ist, erliegen. Wenige Pinselstriche eines kaiserlichen Edikts endeten den Handel ; die zankenden Mönche erreichten ihren Zweck, und sofern hatte ihr Neid nicht übel gerechnet. Ob das angetretene Jahrhundert einholen werde, was das vergangene so schnöde verlohr ? ist eine missliche Frage. In Ansehung der Freiheit stehn in Sina die Christen hinter Juden und Mohamedanern. Einen Zug indess macht der politische Scharfsinn der Jesuiten für alle Zeiten merkwürdig, und vielleicht für die künftigen brauchbar. Als gelehrte Mandarine galten sie ; giebts für Europäische Missionare einen edleren Namen ?Ists ihre reine Absicht, Völker aufzuklären, das Wohl der Reiche nicht zu untergraben, sondern durch Wissenschaften und Sitten auf dem Grundstein echter Menschlichkeit zu sichern, welchen Namen können sie edler führen, welch’ Amt Ehrenvoller verwalten, als das Amt gelehrter, sittlicher Mandarine. Dann fliegt der Schwan den dort die Patres aus kaiserlicher Huld als Ehrenzeichen an der Brust tragen, gern Himmel und singt den Völkern der Erde süssen Gesang.

Lee Eun-jeung : Herder geht es vor allem um die Würdigung der wissenschaftlichen und philosophischen Leistung der Jesuitenmissionare in China. Er versucht, unter Zuhilfenahme seines einfühlenden Empfindens, die theoretisch-philosophische Sittenlehre des Konfuzianismus als geistige Grundlage des gesellschaftlichen und staatlichen Lebens und die Wirklichkeit Chinas auseinanderzuhalten.
11 1803
Herder, Johann Gottfried. Sinesische Exempel der Tage [ID D17259].
Sammlung von 16 Staats- und Sittenerzählungen.
Quellen : Nr. 3-7 : Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts [ID D1867]. Nr. 9 : 18. Buch des Lun yu.
Die andern Erzählungen stammen aus der chinesischen Literatur.

Lee Eun-jeung : Die 16 Erzählungen enthalten drei Kernaussagen : Das Prinzip der guten und gerechten Herrschaft, wie der einzelne Mensch sich menschenwürdig zu verhalten hat und der Mensch als soziales Wesen, der als solches verpflichtet ist, an der Verbesserung des menschlichen Zusammenlebens mitzuwirken. Mit diesen drei Punkten hat Herder die Grundprinzipien der konfuzianischen Lehre korrekt erfasst. Es bleibt jedoch offen, ob er dies auch selber so wahrgenommen hat. Wahrscheinlich ist, dass er, ohne sich dessen voll bewusst zu sein, lediglich diejenigen Erzählungen ausgesucht hat, die er mit seinen Auffassungen in Einklang bringt.
12 1803
Claudius, Matthias. Eine asiatische Vorlesung [ID D19585].
Das Wort asiatische scheint hier etwas zweideutig zu sein, und möchte vielleicht so genommen werden, als ob die Vorlesung aus Asien, oder der Vorleser ein Asiate wäre. Dem muß ich aber förmlich widersprechen, weil es die Zuhörer am Verstehen hindern und irren könnte, und doch auf gewisse Weise daran gelegen ist, daß man verstehe, was vorgelesen wird. Der Vorleser ist kein Asiate, und die Vorlesung ist nicht aus Asien; sie heißt bloß darum asiatisch, weil sie es mit Asien zu tun hat und von asiatischer Gelehrsamkeit, Kunst und Weisheit, die lange Zeit verborgen und unbekannt gewesen ist, Nachricht geben will. Sollte es jemanden einfallen zu fragen: wie ich zu der asiatischen Weisheit, die lange Zeit verborgen und unbekannt gewesen ist, komme, da ich von der europäischen, die je und je offenbar und bekannt war, nicht ein Wort weiß; dem weiß ich nichts anders zu antworten, als daß die Wissenschaften nicht aus Europa nach Asien, sondern aus Asien nach Europa gekommen sind, und ich am rechten Ende anfange und dem Strom folge. Übrigens kann der Leser unbesorgt sein, ich weiß von der asiatischen Weisheit so wenig als von der europäischen, ich will aber auch nicht selbst reden, sondern nur andere Leute, die mehr davon wissen, reden lassen. Baco sagt irgendwo, daß es den Produktionen der Gelehrten in dem »Fluß der Zeit« ergehe, wie den Produktionen der Natur, dem Golde und dem Korkholz, in der Elbe und in einem jeden andern Fluß; nämlich das Gold sinkt und geht zu Grunde, und die Korkhölzer bleiben oben und treiben so den Fluß hinab. Es ist das, dünkt mich, sehr artig gesagt, wenn es wahr wäre. – Aber, wenn denn die Ballen des erleuchteten Jahrhunderts kommen, das wird 'n Treiben werden ... und der »Fluß der Zeit« wird zu tun haben, daß sie sich nicht stopfen. Doch das geht uns nicht an, wir haben es hier mit Ballen zu tun, die aus dem Grund wieder heraufgebracht worden sind, und noch heraufgebracht werden sollen. Die Leser werden sich erinnern, daß, wo ich nicht irre, der König von Frankreich Ludwig der Vierzehnte, der auf seinen ewigen Feldzügen und Kriegen manche Bibliothek in Europa beschädiget und ruiniert hatte, Leute nach Asien geschickt hat, um andere Bücher wieder zu suchen. Nämlich man konnte wohl denken, daß in einem so großen Lande, als Asien ist, Schriften und Bücher sein müßten. Man wußte das auch aus den alten arabischen, griechischen und lateinischen Schriftstellern. So hatte auch Alexander, den sie den Großen nennen, in Persien bei den Priestern Bücher und Schriften angetroffen, davon er ein Teil verbrannt und ein Teil geraubt und mitgenommen hat, als ob man bei andrer Leute Sachen nur so zulangen und mitnehmen könnte. Ist aber auch kein Segen dabei gewesen, denn kein Mensch hat weiter von diesen Büchern und Schritten gehört, noch erfahren, wo sie hingekommen und was aus ihnen geworden wäre. Man wußte also, wie gesagt, schon aus alten Zeiten, daß Bücher und Schriften in Asien wären; und die Nachrichten, die neuere Gelehrte, die dahin verschlagen waren, und sonderlich die päpstlichen Missionärs bei den verschiedenen Völkern Asiens, darüber mitteilten, bestätigten es, und machten die Aufmerksamkeit der Europäer mehr und mehr rege. Es schickten denn mehrere europäische Könige, Fürsten und Regenten Leute nach Asien, die sich näher darüber und darum erkundigen sollten. Auch unser geliebter König, Friedrich der Fünfte, schickte seinerzeit eine ganze Gesellschaft von Gelehrten dahin, um gewisse bestimmte Nachrichten zu holen, und sonst überhaupt Merkwürdigkeiten dortiger Gegend zu sammlen und mitzubringen; aber sie kamen nicht zurück, oder, wie der Dey von Algier neulich an seinen Freund jenseit des Meers schrieb, Gott wollte, daß sie alle in Asien umkommen sollten, bis auf einen, der denn desto fleißiger gewesen ist. Es reisten auch wohl von Zeit zu Zeit gelehrte und wißbegierige Leute nach Asien, die nicht hingeschickt waren, und suchten und sammleten auf ihre eigne Hand, und unter diesen auch ein gewisser Anquetil du Perron, dem es zwar mit Indien nicht glücken sollte, der aber, was Hyde vor ihm in Persien schon ausrichten wollte, vollständig ausgerichtet, und uns, durch seinen Mut und seine Beharrlichkeit, die Urkunde der alten Parsenreligion, in europäischer Sprache, glücklich geliefert hat. Nämlich es war das so leicht nicht getan, und dem Gedeihen aller solcher Bemühungen stunden, in Hinsicht der religiosen Weisheit Asiens, zwei Haupthindernisse im Wege; eins: daß die Religionsschriften aller der Völker Asiens in Sprachen geschrieben sind, die wenige Leute mehr verstehen und die schwer zu lernen sind; und zweitens: daß die Priester diese Schriften nicht hergeben wollten, und gegen die Europäer scheu und zurückhaltend waren, das man ihnen, so wie sich die Europäer im ganzen in den andern Weltteilen betragen haben, auch nicht verdenken noch übelnehmen kann. Zu Kirman wußte indes Anquetil diese Hindernisse zu überwinden, und in Indien sind sie vorher schon, sonderlich von Engländern, z.E. dem liebenswürdigen Hollwell und andern mehr oder weniger überwunden worden, bis endlich ein Institut, das nicht um der asiatischen Kenntnisse willen errichtet war, dazu dienen mußte, diese Kenntnisse näher an uns zu bringen. Nämlich die Beamte der Englischen Ostindischen Kompanie, die an Ort und Stelle waren und Geld und Ansehen und überhaupt alle nötigen Mittel in Händen hatten, machten es sich seit 20–30 Jahren zum Geschäft, sowohl die Altertümer und Merkwürdigkeiten Indiens und der angrenzenden Länder aufzusuchen und darüber von den Beikommenden Erkundigungen einzuziehen, als auch die Sanskritsprache zu lernen und das Vertrauen der Brahminen zu gewinnen. Und das letzte ist ihnen, durch ein aufrichtiges edles Benehmen, wie der Generalgouverneur Warren Hastings in der Vorrede zu der Baghat Gita sagt, so gut gelungen, daß sie Kopien von verschiedenen Stücken der alten Religionsschriften Indiens, sogar der Vier Bengalischen Haupt-Vedas, in Händen haben, auch daraus schon mehr als eine Probe in englischer Sprache herausgegeben haben, und nun zu allen Schriften der Brahminen freien Zutritt haben etc. wie das alles aus den, von der zu dieser Absicht 1784 zu Kalkutta gestifteten Gesellschaft in 7 Quartbänden herausgegebenen Asiatick Researches, und aus dem daraus zu London in 6 Oktavbänden gemachten Auszug, damit sich unsereiner behelfen muß und der auch nur bei den Zitationen gemeint ist, mit mehrern erhellet. Die Chineser halten noch am meisten zurück; doch haben auch hier, sonderlich die Franzosen ziemlich vorgearbeitet und geerntet, so wie unser Landsmann Kämpfer in Japan usw. Auf solche Weise haben wir seit hundert Jahren eine große Menge Schriftsteller und Schriften über Asien erhalten, und sind in den Besitz von Nachrichten gekommen, die unsre Vorfahren nicht hatten, und die zum Teil äußerst merkwürdig sind. Der fleißige Thomas Maurice hat am Ende noch über alles, Altes und Neues, Buch gehalten, und eine Geschichte von Indien stellen wollen usw. Ich weiß wohl, daß die Gelehrten alles dies wissen, und alle diese Bücher gelesen haben, aber einmal darf ich unter meinen Lesern dergleichen gelehrte Leser nicht vermuten; und denn so wird Öl zum Brennen und Leuchten gebraucht, es kann aber auch zum Einmachen und rostige Schlösser einzuschmieren gebraucht werden; und am Ende hört sich eine Geschichte, die uns gerade in den Weg kommt, wohl noch zum zweitenmal wieder, sonderlich wenn sie auf die Schnur gezogen ist, und so viel Interesse hat, als ein groß Teil dieser Nachrichten für einen jeden rechtlichen Menschen notwendig haben muß. Ich wollte, daß ich den Gesamteindruck von Asien, den das wenige, was ich davon gelesen habe, mir gemacht hat, meinen Lesern mitteilen könnte, so wohltuend ist er; aber es geht mir damit, wie sans comparaison dem heiligen Augustinus mit der Zeit; solange ihn niemand fragte, wußte er was sie sei, fragte aber jemand und er wollte Antwort geben, so konnte er's nicht. Die wahre Religion und das Geschlecht der Menschen ist in Asien entstanden; die Quelle ihrer Urkenntnisse sprudelte in Asien zuerst, und man sieht hier rundum an den Büschen und Steinen noch die dicken Tropfen hängen…
Die Sineser fangen ihre Zeitrechnung an: »von der großen Flut, wo das Wasser gekommen und überall geflossen ist, und sich denn wieder gesetzt und das ältere Menschenalter von dem neuern getrennt und der Welt eine neue Gestalt gegeben hat.« Sie erzählen an einem andern Ort: »von einer großen Flut, die sich bis zum Himmel erhob, über die Berge und Anhöhen; die große Verwüstungen anrichtete, und darin die erschrockenen Völker durchs Wasser umkamen.« Kongkong veranlaßte diese Flut, und wollte die Herrschaft der Welt an sich bringen. Dieser Kongkong hatte übrigens das Antlitz eines Menschen, den Körper einer Schlange und rotes Haar; er war hochmütig und grausam, und ein Feind und Verfolger der Menschen…

Die sinesische Naturlehre z. Exempel ist in dem Buch In-kin, das unter ihren fünf klassischen Büchern das dritte ist, enthalten, und das Buch In-kin verbirgt mehr als es sagt. Es besteht bloß aus geraden Linien, eine ungebrochen: –, und eine gebrochen: –, die auf mannigfaltige Art miteinander zusammengeordnet und verbunden sind. Nämlich Fo-hi, der Verfasser dieses Buchs, nahm zwei Prinzipien der physischen Natur an, ein vollkommenes, yam, das durch die ungebrochene, und ein unvollkommenes, yn, das durch die gebrochene Linie bezeichnet wird. Aus diesen zwei Prinzipien, die aus dem Tai-kie, eine Art Chaos, herkommen sind, bestehen nach ihm alle und jede Wesen der physischen Natur, und ihre Verschiedenheit hängt bloß von dem Mehr oder Weniger des einen und des andern dieser Prinzipien, und der Art ihrer Verbindung ab. Um nun darüber zu belehren, hat Fo-hi 4 zweizeiligte, Su siam, 8 dreizeiligte, Pa qua, und 64 sechszeiligte Linien-Figuren gegeben, und darin soll die Erklärung der ganzen Natur, des Menschen und wohl gar der unsichtbaren Welt enthalten und angezeigt sein. An dieser Tafel arbeiten und deuten nun die sinesischen Gelehrten seit mehrern tausend Jahren, und erklären sie, der so und jener anders; viele auch bloß moralisch, wie sie denn gewöhnlich mit Moral kommen, wenn sie nichts Bessers wissen… Die Sineser-Annalen erzählen gar, daß ihr Stifter Yao, der, wie wir oben gehört haben, ca. 200 Jahr nach der Sündflut gelebt haben soll, schon die 12 Monate, 6 zu 30 und 6 zu 29 Tagen und alle 19 Jahre Schaltmonate angeordnet habe usw. usw. Außer daß die Abteilung in Wochen zu 7 Tagen, die Benennung dieser Tage nach den Planeten, die vier Weltalter etc. und die Affären von Sonne und Mond etc. in den ältesten Urkunden aller Völker angetroffen werden… »Alle asiatische Religionen, soweit wir gesehen haben, gründen sich auf den Fall der Geister, so Engel als Menschen, und sind für diese das Gesetz und der Weg zur Herstellung.«… »Alle nehmen ein erstes unbegreifliches unerforschliches höchstes Wesen, Xam-Ti im Sinesischen, Oromasdes im Parsischen, Parabramasta im Sanskrit etc. an, das sie in einer dreifachen Gestalt anbeten, und durch einen Triangel oder ein ander dreifaches Bild bezeichnen und darstellen.«… »Obgleich«, sagt der sinesische Theologe Cou-su, »die dem Menschen vom Himmel mitgeteilte Natur in ihrer Wurzel etwas Wahres und Unveränderliches ist; so kann der Mensch doch, weil er von jener ursprünglichen Reinheit, Unschuld und Wahrheit abgewichen ist, sie nicht klar erkennen, und nicht im Handeln befolgen, bis er heilig wird.«… Die Vedantaphilosophen statuieren, wie ich oben vorgelesen habe, die Einwürkung der ersten Ursache in die menschliche Seele. Die sinesischen Philosophen auch, und zwar sagen sie: »Wenn der Mensch von dem höchsten Herrscher des Himmels stille und sanft gelenket und geleitet wird, so geschieht dies nicht durch Vernehmen oder Hören irgendeiner körperlichen Stimme, sondern das Herz empfängt diese stille und sanfte Leitung.« Sie lehrten, »der Mensch könne aus seinem Herzen, insoweit dies eine gewisse Herrschaft über alle Bewegungen und Affekten des Gemüts und Leibes hat, zu der Erkenntnis jenes großen und höchsten Herzens der göttlichen Weisheit gelangen«. – »Er könne aus der Erkenntnis seiner Seele zu der Erkenntnis der Seelen seiner Mitmenschen und ihrer Heilung, und weiter der andern Wesen und selbst des Himmels aufsteigen, so daß er zwischen Himmel und Erde in der Mitte stehe und mit ihnen ein dreifaches Wesen ausmache.« »Alle gebieten Streben nach Reinigkeit in Gedanken, Worten und Werken, und den Kampf gegen das Böse und gegen das Prinzipium des Bösen mittelst der Kräfte der Religion.«… Die sinesischen Philosophen klagen laut über die böse Lust, und daß die Menschen sie nicht erkennen wollen.
»Alles ist umsonst«, sagt Konfuzius, »es ist alles umsonst; denn wo findet man Menschen, die strenge Beobachter, Zeugen, Ankläger und Richter ihrer selbst wären? Ich habe noch keinen gesehen, der seine Schuld erkenne, der geneigt wäre, sich vor dem innerlichen Gericht seines Gewissens zu stellen, sich strafbar zu finden und die verdiente Strafe auf sich zu nehmen und über sich ergehen zu lassen.« – »Aller äußerlicher Dienst und alle Gebräuche müssen aus einem mit wahrhaften und gebührlichen Gesinnungen angefüllten Herzen, als aus ihrer Quelle und Wurzel, herfließen, und sind, wenn ein solches Herz nicht da ist, ein eitles Menschengemächte und eine bloße Lüge.« Das Opfern ist bei ihnen so alt als die Religion; sogar bedeutet Fo-hi, oder Pao-hi wie der Stifter ihrer Religion auch oft genannt wird, im Sinesischen Victima, Opfer. Sie glauben, daß die himmlische Luft, wie sie es nennen, die in dem Opferer ist, sich mit der himmlischen Luft des Himmels durch eine gewisse Sympathie vereinige, deswegen auch der Opferer vorher Enthaltung und Fasten üben müsse, damit seine Luft, die durch eitle Sorgen und Lüste, wie durch Nebel, verfinstert wird, rein und er so zum Opfern geschickt sei. »Alle haben endlich zugedeckte und durch hieroglyphische Bilder, mythologische Erzählungen, heilige Zeremonien etc. verschleierte Punkte, die zwar eine erste offenbare Bedeutung fürs Auge haben, deren eigentlichen und geheimen Sinn aber nur die Vorsteher und Lehrer der Religion wissen und verstehen, um davon zum Besten der Schüler nach ihrem Eifer und ihrer Treue einen weisen Gebrauch zu ma chen.« Aber, die Wahrheit zu sagen, es kommt mir vor, als wenn die Vorsteher und Lehrer in Asien diesen Sinn selbst nicht mehr verstünden und wüßten.

Hans-Georg Kemper : Matthias Claudius beginnt mit der Entdeckung, 'dass die Wissenschaften nicht aus Europa nach Asien, sondern aus Asien nach Europa gekommen sind, und ich am rechten Ende anfange und dem Strom folge'. Dasselbe gilt für die Religion : 'Die wahre Religion und das Gechlecht der Menschen ist in Asien entstanden ; die Quelle ihrer Urkenntnisse sprudelte in Asien zuerst, und man sieht hier rundum an den Büschen und Steinen noch die dicken Tropfen hängen'. Wie lässt sich das dezidierte Bekenntnis zum Christentum mit der Herleitung aus der asiatischen Urreligion vereinbaren ? Claudius verfolgt dabei apologetische Interessen. Offenkundig möchte er nach der radikalen Infragestellung christilicher und biblischer Überlieferung durch die rationalistische Philosophie und Theologie der Aufklärung nun die Analogien zwischen den alten Religionen und das Alter der Überlieferung erneut als historische Belege für die Glaubwürdigkeit der biblischen Berichte über Begebenheiten heranziehen, 'auf die schwerlich ein Mensch a priori gefallen wäre', und es sei 'närrisch', dass die Aufklärer ein so breit überliefertes Ereignis wie die Sintflut 'leugnen wollen, bloss weil sie nicht mit dabeigewesen und mit ersoffen sind'.
Bei der Rekonstruktion der Überlieferung hat Claudius insbesondere die altpersische, indische und chinesische Philosophie und Theologie im Blick, wobei der sich bemüht, historische und myhologische Informationen in den alten Schriften zu unterscheiden. Bei der Chronologie bleibt Claudius unbestimmt und vorsichtig. Er neigt jenen Datierungen zu, welche sich mit den mosaischen Angaben vereinbaren lassen.
13 1803
Bau des Chinese summerhouse und einer chinesischen Brücke im Frederiksborg Castle in Hillerød, Denmark.
14 1803-1806
Gaetano de Sousa Pereira ist Gouverneur von Macao.
15 1803
Henry Kable reist als Kaufmann nach China.
16 1804
Chrétien Louis Joseph de Guignes wird Leiter des Bureau des interprètes des Ministeriums für auswärtige Angelegenheiten in Paris.
17 1804
Antoine Isaac Silvestre de Sacy wird Präsident der Ecole des langues orientales vivantes.
18 1804
Liang Fa erlernt in Guangzhou (Guangdong) die Druckerei.
19 1804
Napoleon ist Kaiser in Frankreich.
20 1804-1908
George Thomas Staunton ist Frachtaufseher der East India Company in Guangzhou (Guangdong).

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