Liang Zongdai trifft 1926 Paul Valéry.
Paul Valéry apprécie les poèmes de Tao Yuanming et de Wang wei, trad. par Liang Zongdai. Il rencontre aussi Sheng Cheng et il a écrit une préface pour « Ma mère » de Sheng Cheng. Grâce à l'introduction de Liang Zongdai, Paul Valéry pense que le peuple chinois était riche de tendance littéraire. Après la lecture des poèmes de Tao Yuanming et de Wang Wei, traduits par Liang Zongdai, il découvre le courage, la ténacité, la pudeur et l'érudit des Chinois anciens. Il reconnaît l'assiduité, la fraternité et la sagesse des Chinois contemporains à travers Ma Mère de Sheng Cheng. Par l'intermédiaire de ses deux amis chinois, il reconnaît la diligence, la perspicacité et l'habileté dans la jeunesse chinoise.
Literature : Occident : France
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