2008-
Web
# | Year | Text | Linked Data |
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1 | 1685 | Gründung der Missions étrangères de Paris in Guangzhou (Guangdong). |
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2 | 1844-1846 | Evariste Régis Huc und Joseph Gabet reisen zusammen mit einem konvertierten Tibeter nach Tibet bis Lhasa. |
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3 | 1846-1850 | Théodore-Auguste Forcade wird Apostolischer Vikar von Japan und Bischof von Samos. Die Zeremonie findet 1847 in Hong Kong statt. Er ist Apostolischer Präfekt von Hong Kong 1848-1850. |
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4 | 1848 | Die Soeurs de Saint Paul de Chartres gründen in Hong Kong die ersten Krankenhäuser, Waisenhäuser und Schulen für Arme. |
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5 | 1849-1856 | Georges-Louis Haskell ist erster Bevollmächtiger Konsul für Frankreich in Hong Kong. |
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6 | 1849-1866 | Louis Hélot ist Missionar in Shanghai, Guangzhou (Guangdong) und in Wuxi (Jiangsu). |
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7 | 1857-1862 | Albert-Emile Vaucher ist Chargé d'agent consulaire de France in Hong Kong. |
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8 | 1859-1862 | Auguste Léopold Protet kämpft während der Taiping-Revolution. |
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9 | 1861-1936 | Gründung und Bestehen der französichen Gesandtschaft in Beijing. | |
10 | 1861 | Bau der Kirche Saint Joseph in Shanghai durch Louis Hélot. |
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11 | 1862 | José d'Aguilar ist Konsul für Frankreich in Hong Kong. |
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12 | 1863-1951 | Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Hankou = Wuhan (Hubei). |
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13 | 1863-1952 | Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Tianjin. |
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14 | 1865-1941 |
Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Shantou (Jianxi). 1865-1872 französisches Konsulat in Shantou 1873-1822 französisches Vize-Konsulat in Shantou 1922-1941 französisches Konsulat in Shantou |
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15 | 1867-1880 | Jean-Marie Delavay ist als Missionar in Guangdong und Shaanxi und sammelt Pflanzen für Henry Fletcher Hance in Guangzhou. | |
16 | 1867-1903 | Paul Guillaume Farges ist als Missionar in Yunnan und sammelt 4000 Pflanzen, die er nach Paris schickt. |
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17 | 1868-1874 | Léon Rousset ist am Arsenal von Fuzhou tätig. |
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18 | 1872-1873 | Schaffung des astronomischen Observatoriums von Xujiahui (Shanghai) durch Claude Gotteland und französische Missionare. |
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19 | 1882-1891 | Jean-Marie Delavay ist als Missionar in Cangshan (Shandong), Eryuan und Heishanmen (Yunnan) und Lijiang (Guangxi). Er sammelt Pflanzen in Yunnan. |
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20 | 1887-1950 |
Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Beihai (Guangxi). 1887-1921 französisches Vize-Konsulat in Beihai 1921-1950 französisches Konsulat in Beihai. |
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21 | 1889-1936 | Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Mengzi (Yunnan). |
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22 | 1896-1950 | Gründung und Bestehen des französischen Genralkonsulates in Chongqing (Sichuan). |
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23 | 1896 | Gründung des französischen Konsulats in Simao (Sichuan). |
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24 | 1896 | Gründung des französischen Konsulats in Dongxing. |
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25 | 1896 | Gründung des französischen Konsulats in Hekou (Yunnan). |
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26 | 1896-1950 |
Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Haikou. 1897-1924 französisches Vize-Konsulat in Haikou 1924-1950 französisches Konsulats in Haikou |
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27 | 1897 | Paul Doumer unterschreibt den Vertrag für eine Eisenbahnlinie von Tonkin (Vietnam) bis Yunnan. |
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28 | 1899-1904 | Auguste François ist Konsul in Kunming (Yunnan). |
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29 | 1906-1950 | Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Chengdu (Sichuan). 1906-1917 Generalkonsulat, 1918-1941 Konsulat, 1945-1950 Konsulat. |
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30 | 1906-1947 |
Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Nanjing. 1937 Das Konsulat Nanjing ist in Hankou 1938-1940 Das Konsulat Nanjing ist in Chongqing. |
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31 | 1911 | Charles Van den Born landet als erster Pilot mit einer Farman IV in Hong Kong. |
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32 | 1920-1951 | Gründung und Bestehen des französischen Konsulats in Kunming (Yunnan). |
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33 | 1921-1935 | Léon Vircondelet ist Assistant procureur in Hong Kong. |
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34 | 1929-1941 | Georges Bechamp ist Konsul in Chengdu (Sichuan). |
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35 | 1935-1960 | Léon Vircondelet ist Procureur général des Missions étrangères de Paris in Hong Kong. |
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36 | 1936 |
Cocteau, Jean. Mon premier voyage [ID D24697]. Hong-Kong 9 mai, 1936. « La magnificence sordide et la pompe théatrale de Hong-Kong l'emportent sur le spectacle des villes chinoises de la péninsule. Auprès d'elles, Rangoon, Penang laissent le souvenir de grands villages, de marchés aux puces. Hong-Kong, c'est le dragon. Il ondule, se cabre et plonge et s'enroule de tous ses boulevards hérissés de rues adjacentes, de bazars qui sont des ruelles, d'impasses borgnes et d'escaliers à pic. Et toutes ces rues, tous ces boulevards, ces ruelles, ces impasses, ces marches, ont l'air d'attendre une procession religieuse, d'être pavoisés pour quelque fête effrayante, de conduire à l'échafaud d'un roi. L'île nocturne lui rappelle ce spectacle dont nous nous attristâmes si souvent, Christian Bérard et moi, de ne pouvoir faire jouir le public, ce spectacle de l'entracte, singulier et grandiose, c'est à quoi il est impossible de ne pas penser à Hong-Kong dès qu'on plonge dans la coulisse de ses rues dont les boutiques et le cadre des chambres grandes ouvertes à chaque étage semblent les loges où des artistes prodigieux se déguisent et se fardent avant de descentre jouer leur rôle sous l'éclairage vert et rouge des lampadaires ». A peiné débarqués, guidés par un Chinois, Cocteau et Khill-Passepartout se rendent dans une fumerie d'opium : « Le peuple chinois est victime d'une mode nouvelle que je mets sue le compte de quelque ennemi. Cette mode date de quatre ans. C'est le bonbon rose, la perle de sucre couleur de bougie rose percée d'un trou... Cet opium artificiel coûte moins cher que l'opium... C'est douceâtre, sournois, funeste, car, on le devine les pires drogues se cachent sous cette pâte d'aspect inoffensif. » Méfiants et écoeurés par 'les parfums de ce vice nouveau', Cocteau et Khill regagnent leur bord sans avoir tenté l'expérience. Le jour ne dissipe pas les impressions de la nuit : « Un soleil intense tape ses coups de gong sur la montagne. Hong-Kong est pareille à la Hong-Kong nocturne. Plus mystérieuse peut-être sous ce soleil qui exalte les réclames multicolores, le bronze rouge dans lequel est sculpté le peuple et le cadre des tableaux qu'il habite. Rayons à pic et guillotines de fraicheur des rues étroites où les bannières éclaboussées de sang suspenden leurs couperets. » Après quelques achats, c'est le déjeuner « au troisième étage d'un restaurant traversé de cuisiniers qui portent leur cuisine et leurs provisions au bout de perches sur l'épaule. Près de nous, sur le comptoir, des centaines de serpents et de margouillats décapinés, étoilés de petites mains tragiques, mijorent dans un bocal d'eau saumâtre, excellente contre l'impuissance et les rhumatismes ». Du restaurant, Cocteau aperçoit un immeuble qui lui évoque un hôtel sordide de Villefranche : « Toulon et Marseille frappent souvent des accords d'Asie, à force d'être le refuge des navigateurs. Que de poubelles dans nos ports, que de recoins où les planches d'une palissade, une odeur, un éclairage suspect, un Chinois qui s'enfonce dans un mur m'avaient chuchoté la phrase évocatrice, le motif de la symphonie. A Hong-Kong, elle éclate de tous ses cuivres, de toutes ses cordes, de tous ses bois... Sur les places, elle forme des marais croupissants et ses cascades rebondissent de plus belle jusqu'au port. Là, les banques, les agences maritimes, les buildings de Cook, de la N.Y.K. Line, de l'Eastern Télégraph, lui opposent les digues hautaines de leurs cascades... Oublierai-je que sur une de ces places-là, place du Hong-Kong Club, où l'orchestre étale un marécage, se dressent sur des pelouses, des pavois et des estrades de pierre, loin les uns des autres, et comme pour une figure de danse, un roi d'Angleterre de bronze, jambe en avant, poing sur la hanche, une reine de bronze en jupe à volants de bronze, coiffée de bronze, un éventail de dentelle de bronze aux doigts. Comme à Paul Morand dix plus tôt, l'avenir de la colonie lui inspire des réflexions pessimistes : Ce prince et ces princesses de bronze, constellés de crachats, brandissant les attributs du règne et retroussant fièrement le sabre de la victoire, soulignent la profonde défaite européenne et le songe qui consiste à s'annexer les dieux. Quelle réuissite en surface ! En profondeur quel fiasco. Prendre ces hommes exige un siècle ; les perdre quinze jours. Il suffira que des voisins jaunes armés, éduqués, renseignés par l'Europe, cueillent le fruit mûr sur la branche et laissent vivre ces trois statues comme une preuve de l'orgueil national. » Le lendemain, c'est le départ pour Shanghaï dont Cocteau verra peu de choses, fasciné qu'il est par la présence de Charlie Chaplin qui, comme lui, fait route sur le 'Président Coolidge'. |
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37 | 1939-???? | Robert de Boisseson ist als Diplomt in Beijing. |
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38 | 1940 | Gründung des Comité France libre de Hong Kong. |
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39 | 1941-1947 | Louis Brauquier arbeitet für die Compagnie des Messageries maritimes in Shanghai. |
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40 | 1946-1948 | André Travert ist Secrétaire d'Extrême-Orient de 3ème classe an der französischen Botschaft in Chongqing. |
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41 | 1948-1950 | André Travert ist Secrétaire d'Extrême-Orient und Archivar an der Botschaft in Nanjing, dann in Guangzhou (Guangdong). |
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42 | 1950-1959 | André Travert ist Chargé par intérim des fonctions de secrétaire d'Extrême-Orient archiviste am Konsulat in Hong Kong. |
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43 | 1959-1965 | André Travert arbeitet in der Administration centrale der Direction d'Asie et d'Océanie, section Chine in Paris. |
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44 | 1985-1987 | André Travert ist Responsable de la représentation française à Taipei. |
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# | Year | Bibliographical Data | Type / Abbreviation | Linked Data |
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1 | 1927-1945 | Le journal de Shanghai = Fa wen Shanghai ri bao. Année 1 (1927-1945). (Shanghai : [s.n.], 1927-1945). [Gegründet von Jean Fontenoy]. | Publication / Font2 |
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