1842
Publication
# | Year | Text | Linked Data |
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1 | 1838-1839 |
Auguste Borget hält sich in Hong Kong, dann in Guangzhou (Guangdong) und länger in Macao auf. Er schreibt : "Je reprenais mes rêves, et déjà je me voyais en Chine." Borget était amoureux déjà de la Chine avant de la connaître. Il rejoint le pays dont il a tant rêvé. In Hong Kong schreibt er : "Après le repas, je me mis à dessiner. J'étais mollement étendu à l'ombre sur une pente couverte de gazon, et j'avais sous les yeux un admirable paysage de rochers, de montagnes et d'eau, sillonné par des barques sans nombre." 1939 schreibt er über den Tempel in Macao in einem Brief : "Au reste, je trouvais toujours la plus grande bienveillance dans tous ceux qui venaient au temple. Chacun s'y tenait de façon à ne gêner ni mes bras ni mes regards, et l'un d'eux même me prêta son dos en guise de pupitre." Er schreibt über seine Abreise aus Macao : "Obligé par la guerre qui avait éclaté entre l'Angleterre et la Chine, de quitter le céleste empire où je comptais séjourner longtemps encore, je dus penser à retourner en Europe." In China gemalte Bilder : Paysage de Hong Kong, Factoreries de Canton, Paysage de Whampoa, Vue panoramique de Macao, Tanka devant le fort Saõ Pedro, Cortège d’un mandarin sur la Praya grande, Portier de Paiva, Barbier de face, L'église Saõ Agostino, Rue près de Saõ Domingos, Chiffonier chinois à Macao, Théâtre de marionettes à Macao, Le port intérieur de Macao, Faubourg de Macao, Vue d'un grand temple chinois à Macao. |
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2 | 1842 |
Balzac, Honoré de. La Chine et les chinois [ID D21069]. C'est un récit de voyage imaginaire qui conduit de Hong Kong à Macao et Guangzhou (Guangdong). Pour donner à son récit un aspect de vérité, Balzac se réfugie derrière la signature de Auguste Borget, qui avait parcouru le monde et qui avait rapporté de ses voyages des notes et peintures. Borget a illustré ce texte. Balzac aligne tous les clichés déjà répandus sur la beauté des femmes, des parfums des fleurs, le raffinement des chinois, ce 'peuple éminemment plaisant, qui se permet tous les jours les opéras-comiques qu'en Europe, les plus grands génies trouvent difficilement et qui coûtent si cher'. Il connaît tout des coutumes chinoises, des femmes chinoises qui marchent sur des moignons de pieds, des légendes, des princes chinois etc. Balzac zitiert darin aus einem Brief von August Borget : "Si la comédie, si sévèrement défendue par nos prêtres, est non seulement tolérée par les bonzes, mais encore ils permettent aux théâtres, qui sont ambulants, de s'établir près des temples. Je vis une troupe dressant des bambous sur la grande esplanade, et bâtissant son théâtre, couvert de nattes, en face de la grande fenêtre ronde du temple, tournant dos à la mer. Les bonzes se tenaient constamment dans la cour du sanctuaire principal, jouissant du spectacle, tandis qu'ils fumaient la pipe. La sing-song, c'est le nom qu'on donne à ces fêtes, dura quinze jours, pendant lesquels l'esplanade offrit le spectacle le plus animé...." "[S]on enfance a été bercée de la Chine et des Chinois par une personne chère qui adorait ce peuple étrange. Aussi, dès l'âge de quinze ans, avais-je lu le Père [Jean-Baptiste] du Halde], l'abbé [Jean-Baptiste] Grozier [Grosier], qui fut le prédécesseur de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal, et la plus grande partie des relations plus ou moins mensongères écrites sur la Chine ; enfin, je savais tout ce que l'on peut savoir théoriquement de la Chine." Plus loin il écrit : "Malgré tous nos efforts et nos grands missionnaires, les pères [Ferdinand] Verbiest, [Dominique] Parennin et autres, nous ne savons pas encore, grâce à ce caméléonisme, si la Chine est un pays à gouvernement despotique ou à gouvernement constitutionnel, un pays plein de moralité ou un pays de fripons. Aussi, dès que j'appris l'arrivée en Chine d'un garçon sincère, me suis-je écrié : Enfin, nous allons savoir quelque chose !" |
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# | Year | Bibliographical Data | Type / Abbreviation | Linked Data |
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1 | 2007- | Worldcat/OCLC | Web / WC |
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