# | Year | Text |
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1 | 1700 |
Charles Maigrot weiht Artus de Lionne zum Bischof.
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2 | 1700 |
Antonio Francesco Giuseppe Provana ist als Missionar in Henan tätig.
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3 | 1700 |
Simão Rodrigues ist als Missionar in Suzhou tätig.
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4 | 1700 |
António da Silva wird Stellvertreter des Bischofs von Nanjing.
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5 | 1700 |
Kilian Stumpf wird Apostolischer Notar der Jesuiten in China. Er muss in Zusammenhang mit dem Ritenstreit Verteidigungsschriften zugunsten der Jesuiten übersetzen, verfassen und zusammenstellen.
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6 | 1700 |
Claude de Visdelou ist als Missionar in Fuzhou (Fujian) tätig.
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7 | 1700 |
Es gibt ca. 300'000 Christen in China.
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8 | 18. Jh. |
Barock, Aufklärung, Absolutismus in Europa.
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9 | 18. Jh. |
Die Engländer sind Grossunternehmer des Chinahandels. Die wichtigsten Handels-Waren sind Gewürze und die Verbindung von amerikanischem Zucker mit chinesischem Tee.
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10 | 18. Jh. |
Europa beginnt regulären Handel Mit Guangzhou (Guangdong) zu treiben. Chrysanthemen, Rosen, Päonien, Jasmin, Kamelien und Azaleen werden aus China nach Europa gebracht.
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11 | 1700 |
Gründung der Preussischen Akademie der Wissenschaften durch Anregung von Gottfried Wilhelm Leipzig. Eine der Aufgaben soll die Verwirklichung des Kulturaustausches mit China sein.
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12 | 1700 |
Leibniz, Gottfried Wilhelm. De cultu Confucii civili [ID D16839].
Leibniz schreibt : Die Chinesen schätzten zwar Zeremonien, wozu auch die Verehrung des Konfuzius und Ahnen gehörten, in höchstem Masse und sie fielen anderen Völkern durch ihre Übertreibungen auf. Aber dies sollte man nicht allzu engherzig interpretieren. Es sei doch schwer, sich in Europa ein Urteil zu bilden, solange nicht die chinesische Literatur ebenso in Übung ist wie diejenige der Rabbiner oder der Araber, und zwar derart, dass wir ihre Bücher lesen und uns ein kritisches Urteil bilden können : was im übrigen unser Ziel sein müsste mit allem, was mit dem christlichen Staat zusammenhängt. Insofern wäre es angebracht, sich in Bezug auf die Chinamission ebenso zu verhalten wie der Apostel Paulus seiner Zeit in Griechenland : Dieser hatte einen Altar zugelassen, den die Athener 'dem unbekannten Gott' geweiht hatten. Solange man so wenig über die authentische Lehre, besonders der alten Chinesen wisse, müsse alles in einem günstigen Licht betrachtet werden. |
13 | 1700 |
Le Comte, Louis. Eclaircissement sur la dénonciation [ID D19963].
Virgile Pinot : Le Comte ne cherchait pas à se défendre par des raisons théologiques, mais il invoquait l'autorité de l’histoire dont il avait été, disait-il, le fidèle porte-parole : "Quand j'ay parlé de l'ancienne Religion des Chinois, je l'ay toujours fait en Historien qui rapporte ce que les anciens Livres de ces peuples nous ont laissé. Et je n'ay jamais prétendu que le public donnât à mon Livre plus de croyance que n'en mérite l'Histoire même de la Chine". Mais invoquer l'histoire contre des arguments théologiques, c'est faire de l'histoire le juge de la théologie, c'est mettre les faits au-dessus de la doctrine. Ainsi l’histoire d'une nation profane devenait un critérium de vérité, supérieur même à la révélation. Enfin le P. Le Comte se défendait en invoquant un argument d'occasion, la nécessité d'enlever une arme aux libertins : "Ne serait-il pas bien plus dangereux de condamner ce qu'on reprend icy dans mon Livre, en disant que les anciens Chinois, comme ceux d'à présent, étoient athées. Car les Libertins ne tireroient-ils pas avantage de l'aveu qu'on leur feroit, que dans un empire si vaste, si éclairé, établi si solidement, et si florissant, soit par la multitude de ses habitants, soit par l'invention de presque tous les arts, ou n'auroit jamais reconnu de Divinité. Que deviendroient donc les raisonnements que les Saints-Pères, en prouvant l'existence de Dieu ont tiré du consentement de tous les peuples, auxquels ils prétendent que la Nature en a imprimé l'idée si profondément que rien ne la peut effacer". |
14 | 1700 |
Regnard, Jean François. Les Chinois [ID D20188].
Ting Tchao-ts'ing : L'action se passe sur le Mont Parnasse ; le théâtre représente Apollon avec les Muses. Sur le sommet paraît un âne ailé ; représentant Pégase. On entend un concert ridicule de plusieurs instruments comiques, interrompu par l'âne qui se met à braire. Octave, amoureux d'Isabelle, fille de Roquillard, sait qu'il doit arriver trois personnes, un chasseur, un capitaine et un docteur chinois, tous pour la demander en mariage. Or le père d'Isabelle ne les a jamais vus. Octave imagine donc qu'Arlequin, son valte, se déguise successivement en toutes ces personnes-là et les tourne en riducule pour en dégoûter la jeune fille et pour faire tomber le chois sur lui. La ruse réussit. Puisqu'il s'agit d'une pièce comique, l'auteur esquisse d'une façon toute fantaisiste un faux docteur chinois représenté par Arlequin, qui se vante d’être un 'homme universel' parce qu'il est à la fois philosophe, logicien, barbier et cordonnier, et par-dessus le marché, il est compositeur d'Opéra. Et il montre à Roquillard en ouvrant 'son cabinet de Chine' que l'on voit rempli de figures chinoises grotesques, composant une académie de musique, mêlés de violons et de figures qui représentent la rhétorique, la logique, la musique, l'astrologie etc. Au milieu de ces figures, on voit une grosse pagode. L'auteur de cette charmante pièce obtient ainsi quelque chose de nouveau comme mise en scène et qui justifie bien le nom de comédie ornée de nouveautés exotiques : un faux docteur chinois parmi le décor d'un Extrême-Orient imaginaire. |
15 | 1700-1800 |
18. Jahrundert : Gründung von zwei Abteilungen des Amts für Palastarbeiten : Department für Glas und Emaille (Fa lang chu), Department für Uhren (Zi ming zhong chu = Zao zhong chu.
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16 | 1700 |
Giovanni Gherardini kommt in Beijing an und malt die Fresken der neuen jesuitischen Kathedrale.
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17 | 1700 |
Château de Waleffe, Faimes, Belgien.
Sammlung von chinesischen Porzellan-Vasen und chinesischer Wandmalerei. |
18 | 1700 |
Chinesisches Fest im Schloss von Versailles um das Kommen eines chinesischen Jahrhunderts zu proklamieren.
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19 | 1700 |
Jean Jourdan de Groucé obtenait la concession du commerde de la Chine, limité aux port de Canton et de Ningbo. [Guangzhou].
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20 | 1700 |
John Evelyn berichtet, dass Samuel Pepys sein Haus mit indischen und chinesischen Kuriositäten eingerichtet hat.
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