Tin, Tun-ling
Ting, Tun-ling
# | Year | Text | Linked Data |
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1 | 1863 |
Théophile Gautier kommt durch Charles Clermont-Ganneau in Kontakt mit Ding Dunling, der als Sekretär von Joseph-Marie Callery nach Frankreich gekommen ist. Er stellt ihn als Chinesisch-Lehrer für Judith Gautier ein. Sie kopieren chinesische klassische Gedichte in der Bibliothèque nationale in Paris. Judith Gautier schreibt 1903 in Le second rang du collier über Ding : "L'idée de voir un habitant du Céleste Empire nous exaltait beaucoup ; cet être invraisemblable existait donc, autrement que sur les écrans et les éventails, avec une tête d'ivoire ou une figure de papier de riz". Elle se souviendre d'avoir "presque chaque jour", en compagnie de Ding Dunling, consulté et recopié certains poèmes des recueils disponibles dans la Bibliothèque de la rue de Richelieu. |
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2 | 1863 |
Goncourt, Edmond de ; Goncourt, Jules de. Journal des Goncourt [ID D22308]. Sie schreiben über Théophile Gautier, Judith Gautier und Ding Dunling in Neuilly : 17 juillet "Nous le trouvons à table, entouré de son fils et de ses deux filles, croquant en manches courtes les écrevisses d'un grand plat, nous contant le Chinois avec lequel elles ont dîné hier, allant chercher les souliers à la chinoise qu'il leur a donnés, bégayant les mots chinois qu'il leur a dits. On se lève de table, on passe au salon. Les fillettes vous attirent doucement vers des petits coins de meubles et d'intimité... pour vous faire épeler une page de leur grammaire chinoise." |
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3 | 1865 |
Goncourt, Edmond de ; Goncourt, Jules de. Journal des Goncourt [ID D22308]. Sie schreiben über Théophile Gautier, Judith Gautier und Ding Dunling : 4 mai "Une drôle de table que celle où nous sommes assis chez Théophile Gautier. Il y a ce soir aux côtés de Flaubert et de Bouilhet un vrai Chinois, avec ses yeux retroussés et sa robe groseille, le professeur de chinois des filles de Gautier." |