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“Les meidosems d'Henri Michaux : émergences du dedans, résurgences orientales” (Publication, 2002)

Year

2002

Text

Deslauriers, Rosaline. Les meidosems d'Henri Michaux : émergences du dedans, résurgences orientales. In : Tangence ; no 68 (2002).
Deslauriers, Rosaline. Les meidosems d'Henri Michaux : émergences du dedans, résurgences orientales. (MichH8)

Type

Publication

Chronology Entries (2)

# Year Text Linked Data
1 1937 Michaux, Henri. Portrait du Chinois. [In : Oeuvres complètes].
Er schreibt : « Le Chinois est sensible à la nature ; non comme l'Allemand ou l'Anglais, mais comme le hareng ou la fourmi. Le Blanc s'entoure d'un jardin, mais il n'est pas dans l'esprit de la nature. Le Chinois, au contraire, 'est de la Nature', plein de contradictions, de règles aussi, de compromis et toujours florissant.
« La peinture chinoise semble la nature même, non par des tableaux en trompe l'oeil, tout au contraire, le peintre doit saisir les harmonies profondes, essentielles. Trois mois dans la montagne et la peindre en trois traits. »
Anne Chamayou : Le texte resserré dans l'espace d'un portrait, cherche dans la releation du Chinois et de la Nature l'unité de sa composition ; tout y est en effet centré sur le leimotiv de la nature.
  • Document: Les écrivains français du XXe siècle et la Chine : colloque internationale de Nanjin 99' = 20 shi ji Faguo zuo jia yu Zhongguo : 99' Nanjing guo ji xue shu yan tao hui. Etudes réunies par Christian Morzewski et Qian Linsen. (Arras : Artois presses Université, 2001). (Lettres et civilisations étrangères).
    20世紀法國作家與中國 99'南京国际学朮硏讨会 S. 166-167. (Morz, Publication)
  • Document: Liu, Yang. Henri Michaux et la Chine. (Paris : Ed. Le manuscrit, 2006). (Diss.) S. 182. (MichH1, Publication)
  • Person: Michaux, Henri
2 1972 Michaux, Henri. Emergences – résurgences. (Genève : A. Skira, 1972).
Er schreibt : « […] c'est la peinture chinoise qui entre en moi en profondeur, me convertit. Dès que je la vois, je suis acquis définitivement au monde des signes et des lignes. Les lointains préférés au proche, la poésie de l'incomplétude préférée au compte rendu, à la copie.
Les traits lancés, voltigeants, comme saisis par le mouvement d'une inspiration soudaine et non pas tracés prosaïquement, laborieusement […] voilà qui me parlait, me prenait, m'emportait. »