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1 1723-1741
Dominique Parrenin führt eine ausgedehnte Korrespondenz mit europäischen Gelehrten und informiert sie über China. Seine Korrespondenten sind Jean-Jacques Dortous de Mairan, Theophilus Siegfried Bayer und Nicolas Fréret. Ein Teil dieser Briefe sind in den "Lettres édifiantes..." und im "Welt-Bott" enthalten.
1734 schreibt Mairan an Parrenin, dass China eine ägyptische Kolonie sei. Parrenin kritisiert diese Ansicht mit der Begründung, dass die chinesische Religion und Sitte sich von der ägyptischen unterscheide und dass es unmöglich sei, in einem Land, das für Fremde verschlossen war, eine Kolonie zu gründen.
2 1723
Rouvroy Saint-Simon, Louis de. Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon sur le siècle de Louis XIV et la Régence [ID D24096].
En voici une autre d'une espèce différente. Le feu pape, irrité de la désobéissance des jésuites de la Chine, des souffrances et de la mort du cardinal de Tournon qu'il y avait envoyé son légat a latere, y avait envoyé de nouveau, avec le même caractère et les mêmes pouvoirs, le prélat Mezzabarba, orné du titre de patriarche d'Alexandrie. Il alla de Rome à Lisbonne pour y prendre les ordres et les recommandations du roi de Portugal, pour ne pas dire son attache, sous la protection duquel les jésuites travaillaient dans ces missions des extrémités de l'orient. Il fit voile de Lisbonne pour Macao où il fut retenu longtemps avec de grands respects avant de pouvoir passer à Canton. De Canton, il voulut aller à Pékin, mais il fallut auparavant s'expliquer avec les jésuites qui étaient les maîtres de la permission de l'empereur de la Chine, et qui ne la lui voulurent procurer qu'à bon escient. Il différa tant qu'il put à s'expliquer, mais il eut affaire à des gens qui en savaient autant que lui en finesses, et qui pouvaient tout, et lui rien que par eux. Après bien des ruses employées d'une part pour cacher, de l'autre pour découvrir, les jésuites en soupçonnèrent assez pour lui fermer tous les passages.

Mezzabarba avait tout pouvoir; mais pour faire exécuter à la lettre les décrets et les bulles qui condamnaient la conduite des jésuites sur les rits chinois, et pour prendre toutes les plus juridiques informations sur ce qui s'était passé entre eux et le cardinal de Tournon jusqu'à sa mort inclusivement. Ce n'était pas là le compte des jésuites. Ils n'avaient garde de laisser porter une telle lumière sur leur conduite avec le précédent légat, encore moins sur la prison où ils l'avaient enfermé à Canton à son retour de Pékin, et infiniment moins sur sa mort. Mezzabarba, en attendant la permission de l'empereur de la Chine pour se rendre à Pékin, voulut commencer à s'informer de ces derniers faits, et de quelle façon les jésuites se conduisaient à l'égard des rits chinois depuis les condamnations de Rome. Il n'alla pas loin là-dessus sans être arrêté. La soumission apparente et les difficultés de rendre à ces brefs l'obéissance désirée furent d'abord employées, puis les négociations tentées pour empêcher le légat de continuer ses informations, et pour le porter à céder à des nécessités locales inconnues à Rome, et qui ne pouvaient permettre l'exécution des bulles et des décrets qui les condamnaient. Les promesses de faciliter son voyage à la cour de l'empereur, et d'y être traité avec les plus grandes distinctions, furent déployées. On lui fit sentir que le succès de ce voyage, et le voyage même était entre leurs mains. Mais rien de ce qui était proposé au légat n'était entre les siennes. Il n'avait de pouvoir que pour les faire obéir, et il avait les mains liées sur toute espèce de composition et de suspension. Il en fallut enfin venir à cet aveu. Les jésuites, hors de toute espérance de retourner cette légation suivant leurs vues, essayèrent d'un autre moyen. Ce fut de resserrer le légat et de l'effrayer. Ce moyen eut un plein effet.
Le patriarche, se voyant au même lieu où le cardinal de Tournon avait cruellement péri entre les mains des mêmes qui lui en montraient de près la perspective, lâcha pied, et pour sauver sa vie et assurer son retour en Europe, consentit, non seulement à n'exécuter aucun des ordres dont il était chargé, et dont l'exécution, qu'il vit absolument impossible, faisait tout l'objet de sa légation, mais encore d'accorder, contre ses ordres exprès, par conséquent sans pouvoir, un décret qui suspendit toute exécution de ceux de Rome, jusqu'à ce que le saint-siège eût été informé de nouveau. De là, les jésuites prirent occasion d'envoyer avec lui à Rome le P. Magalhaens, jésuite portugais, pour faire au pape des représentations nouvelles, en même temps pour être le surveillant du légat depuis Canton jusqu'à Rome. À ces conditions les jésuites permirent au légat d'embarquer avec lui le corps du cardinal de Tournon, et de se sauver ainsi de leurs mains sans avoir passé Canton, et sans y avoir eu, lors même de sa plus grande liberté, qu'une liberté fort veillée et fort contrainte. Il débarqua à Lisbonne où, après être demeuré quelque temps, il arriva en celui-ci à Rome avec le jésuite Magalhaens et le corps du cardinal de Tournon qui fut déposé à la Propagande. Mezzabarba y rendit compte de son voyage, et eut plusieurs longues audiences du pape, où il exposa l'impossibilité qu'il avait rencontrée à son voyage au delà de Canton, premier port de la Chine à notre égard, et à réduire les jésuites à aucune obéissance. Il expliqua ce que, dans le resserrement où ils l'avaient tenu, il avait pu apprendre de leur conduite, du sort du cardinal de Tournon, enfin du triste état des missions dans la Chine; il ajouta le récit de ses souffrances, de ses frayeurs; et il expliqua comment, en s'opiniâtrant à l'exécution de ses ordres, il n'y aurait rien avancé que de causer l'éclat d'une désobéissance nouvelle, et à soi la perte entière de sa liberté, et vraisemblablement de sa vie, comme il était arrivé au cardinal de Tournon; qu'il n'avait pu échapper et se procurer son retour pour informer le pape de l'état des choses qu'en achetant cette grâce par la prévarication dont il s'avouait coupable, mais à laquelle il avait été forcé par la crainte de ce qui était sous ses yeux, et de donner directement contre ses ordres une bulle de suspension de l'exécution des précédentes, jusqu'à ce que le saint-siège, plus amplement informé, expliquât ce qu'il lui plaisait de décider.

Ce récit, en faveur duquel les faits parlaient, embarrassa et fâcha fort le pape. La désobéissance et la violence ne pouvaient pas être plus formelles. Il n'y avait point de distinction à alléguer entre fait et droit, ni d'explication à demander comme sur la condamnation d'un amas de propositions in globo et d'un autre amas de qualifications indéterminées. Il n'y avait pas lieu non plus de se récrier contre une condamnation sans avoir été entendus. La condamnation était claire, nette, tombait sur des points fixes et précis, longuement soutenus par les jésuites, et juridiquement discutés par eux et avec eux à Rome. Ils avaient promis de se soumettre et de se conformer au jugement rendu. Ils n'en avaient rien fait, leur crédit les avait fait écouter de nouveau, et de nouveau la tolérance dont il s'agissait avait été condamnée. Ils y étoffent encore revenus sous prétexte qu'on n'entendait point à Rome l'état véritable de la question, qui dépendait de l'intelligence de la langue, des moeurs, de l'esprit, des idées et des usages du pays. C'est ce qui fit résoudre l'envoi de Tournon; et ce que Tournon y vit et y apprit, et ce qu'il tenta d'y faire, et qu'il y fit à la fin, empêcha son retour et son rapport, et celui de la plupart des ministres de sa légation.
Quelque bruit et quelque prodigieux scandale qui suivit de tels succès, les jésuites eurent encore le crédit d'éviter le châtiment, soumis, respectueux et répandant l'or à Rome dans la même mesure qu'ils en amassaient à la Chine et au Chili, au Paraguay et dans leurs principales missions, et à proportion de leur puissance et de leur audace à la Chine. Ce fut donc pour tirer les éclaircissements locaux qu'ils avaient bien su empêcher le cardinal de Tournon et la plupart des siens de rapporter en Europe, et finalement pour faire obéir le saint-siège, que Mezzabarba y fut envoyé. Il ne se put tirer d'un si dangereux pas qu'en la manière qu'on vient de voir, directement opposée à ses ordres. Mais que dire à un homme qui prouve un tel péril pour soi et une telle inutilité d'y exposer sa vie? Aussi ne sut-on qu'y répondre; mais la honte de le voir à Rome en témoigner l'impuissance, par le seul fait d'être revenu sans exécution, et forcé au contraire à suspendre tout ce qu'il était chargé de faire exécuter, rendit sa présence si pénible à supporter, qu'il ne lui en coûta pas seulement le chapeau promis pour le prix de son voyage, mais l'exil loin de Rome, où il vécut obscurément plusieurs années, et dans lequel il mourut.
Le pape, la très grande partie du sacré collège et de la cour romaine voulait faire rendre les plus grands honneurs à la mémoire du cardinal de Tournon; et le peuple, soutenu de plusieurs cardinaux et de beaucoup de gens considérables, le voulaient faire déclarer martyr. Les jésuites en furent vivement touchés. Ils sentirent tout le poids du contre-coup qui tomberait sur eux de ce qui se ferait en l'honneur du cardinal de Tournon. L'audace, poussée au dernier point de l'effronterie, leur en para l'affront. Ils insistèrent pour obtenir qu'après Mezzabarba, leur P. Magalhaens fût écouté à son tour.
Peu occupés de défendre les rits chinois, la désobéissance et les violences des jésuites de la Chine devant la congrégation de la Propagande, dont ils n'espéraient rien, ils voulurent aller droit au pape. Magalhaens y défendit les siens comme il put. Il se flattait peu de leur parer une condamnation nouvelle. Son grand but fut d'étouffer la mémoire du cardinal de Tournon et de sauver l'affront insigne des honneurs qu'on lui préparait. Le pape, gouverné par le cardinal Fabroni, leur créature et leur pensionnaire, qui les craignait à la Chine, où ils se moquaient de lui en toute sécurité, et qui s'en servaient si utilement en Europe, crut mettre tout à couvert en condamnant de nouveau les rites chinois et les jésuites, leurs protecteurs à la Chine, sous la plus grande peine, s'ils n'obéissaient pas enfin à ces dernières bulles, et sous les plus grandes menaces de s'en prendre au général et à la société en Europe, aux dépens de la mémoire du cardinal de Tournon, qui fut enfin enterré dans l'église de la Propagande sans aucune pompe. C'était tout ce que les jésuites s'étaient proposé. Contents au dernier point de voir tomber par là toute information de ce qui s'était passé à la Chine, à l'égard de la légation et de la personne du légat, après tout le bruit qui s'en était fait à Rome, ils se tinrent quittes à bon marché de la nouvelle condamnation du pape, moyennant que cette énorme affaire demeurât étouffée, que l'étrange succès de la légation de Mezzabarba restât tout court sans aucune suite, bien assurés qu'après de telles leçons données à ces deux légats a latere, il ne serait pas facile de trouver personne qui se voulût charger de pareille commission, non pas même pour la pourpre, qui n'avait fait qu'avancer la mort du cardinal de Tournon; et qu'à l'égard des condamnations nouvelles, ils en seraient quittes pour des respects, des promesses d'obéissance et des soumissions à Rome, et n'en continueraient pas moins à la Chine à s'en moquer et à les mépriser, comme ils avaient fait jusqu'alors. C'est en effet comme ils se conduisirent fidèlement à Rome et à la Chine, sans que Rome ait voulu ou su depuis quel remède y apporter.

Mais ce qui est incroyable est la manière dont le P. Magalhaens s'y prit pour conduire l'affaire à cette issue. Ce fut de demander hardiment au pape de retirer tous les brefs, ou bulles et décrets, qui condamnaient les rits chinois et la conduite des jésuites à cet égard et à l'égard de ces condamnations. Il fallait être jésuite pour hasarder une demande si impudente au pape, en personne, en présence du corps du cardinal de Tournon, et du légat Mezzabarba, et il ne fallait pas moins qu'être jésuite pour la faire impunément. Le pape fut encore plus effrayé qu'indigné de cette audace.
Il crut donc faire un grand coup de politique de les condamner de nouveau pour ne pas reculer devant ce jésuite, mais d'en adoucir le coup pour sa compagnie, en supprimant tout honneur à la mémoire du cardinal de Tournon, et se hâtant de le faire enterrer sans bruit dans l'église de la Propagande, où il était demeuré en dépôt, en attendant que les honneurs à rendre à sa mémoire et la pompe de ses obsèques eussent été résolus, qui furent sacrifiés aux jésuites, avec un scandale dont le pape ne fut pas peu embarrassé.
3 1723
Aufführung von Arlequin, barbet, pagode et medecin, pièce chinoise en deux actes en monologues von Alain-René Lesage in Paris.
4 1724
Giampaolo Gozani wird ins Exil nach Guangzhou (Guangdong) geschickt.
5 1724
Romain Hinderer verbirgt sich in Zhejiang.
6 1724
Jean Noëlas wird ins Exil nach Guangzhou (Guangdong) geschickt.
7 1724
Karl Slavicek ist als Musiker, Astronom und Uhrmacher in Beijing tätig.
8 1724
Pieter Thomas van Hamme wird Visitator für China und Japan.
9 1724
Julien-Placide Hervieu ist als Missionar in Guangzhou (Guangdong) tätig.
10 1724
Caetano Lopes predigt in Guilin (Guangxi).
11 1724
Giambattista Maoletti wird Apostolischer Vikar von Huguang.
12 1724
André Pereira ist als Missionar in Beijing tätig.
13 1724
Joseph Henri-Marie de Prémare wird von Kaiser Yongzheng nach Guangzhou (Guangdong) verbannt.
14 1724-1725
Kaiser Yongzheng verbietet mit einem Edikt das Christentum und verbannt alle Missionare ausser denen, die Hofdienst haben, nach Guangzhou (Guangdong).
15 1724
Kaiser Yongzheng gibt ein Dekret heraus, dass die Europäer am Hofe wichtig für den Kalender sind, aber alle andern nicht gebraucht werden.
16 1724
Bilfinger, Georg Bernhard. Specimen doctrinae veterum sinarum moralis et politicae [ID D1807].
Quelle : Couplet, Philippe. Confucius sinarum philosophus [ID D1758].
Michael Albrecht : Bilfinger versucht, die Lehren der Chinesen in die 'Form einer Wissenschaft' zu bringen und legt eine ausführliche Darstellung der chinesischen Moral und Staatsphilosophie vor. Seine Fragestellung betriff die Anwendung der Philosophie auf die Politik. Zu diesem Zweck behandelt der zunächst die Moral der Chinesen, nämlich die Ausbildung des Verstandes zur Erkenntnis des Guten und Bösen, die Verbesserung des Willens, die Beherrschung der Affekte, die Ausrichtung der äusseren Handlungen und die Pflichten (wie z.B. den Ahnenkult). Der zweite Teil der Pflichtenlehre betrifft die Rechte und Pflichten der Obrigkeit, bevor die Verwaltung des Reiches untersucht wird. Der abschliessende Vergleich zwischen der christlichen und der chinesischen Philosophie zeigt deren Mängel ; Bilfinger betont die Bedeutung der Offenbarung bei der Suche nach der Wahrheit.

Werner Lühmann : Bilfinger sagt, dass die Philosophie der Chinesen ältesten Ursprungs sei und nicht das Werk eines Einzelnen, des Konfuzius, sondern Gemeingut eines ganzen, höchst bedeutenden Volkes, das sich in besonderer Weise durch seinen Bürgersinn auszeichne und dessen geistige Überlieferungen im ganzen Reich Verbreitung gefunden hätten. Aufgrund ihres praktischen Charakters sei diese Philosophie in hervorragender Weise geeignet, die Völker zu regierung und insofern wie geschaffen dafür, auch als Richtschnur für gegenwärtiges politisches Handeln zu dienen.
17 1724-1727
Defoe, Daniel. A tour thro' the whole island of Great Britain [ID D26814].
Er schreibt : "The queen [Mary] brought in the custom or humour, as I may call it, of furnishing houses with china-ware, which increased to a strange degree afterwards, piling their china upon the tops of cabinets, scrutores, and every chymney-piece, to the tops of the ceilings, and even setting up shelves for their china-ware, where they wanted such places, till it became a grievance in the expence of it, and even injurious to their families and estates."
18 1724-1790
Benjamin Franklin and China : general
Quelle : Du Halde, Jean-Baptiste. Description géographique, historique, chronologique, politique et physique de l'empire de Chine et de la Tartarie chinois. (1735) [ID D1819].
Dave Wang : Benjamin Franklin was 'the most eminent mind that has ever existed in America'. Americans show respect to him because he was 'generous, open-minded, learned tolerant '. He had a clear vision of the road America should take and he spent time in helping to make sure that it would be achieved. His ideas and visions helped to lay the foundation for the United States of America. Franklin was 'the first and foremost American sinophile' in the United States. He was an expert on China, even according to today's standard. His understanding of Chinese civilization was better and deeper than many of today's scholars. Franklin explored almost every aspect of Chinese civilization, from spiritual to material. His interest in China included Confucius' moral philosophy, industrial product, industrial technologies and agricultural plants. He endeavored to use Confucius' moral philosophy to improve his own virtue. It was in Philadelphia where Franklin had the opportunity to access his knowledge of Chinese civilization. Philadelphia was the center of Chinese culture in North America. In the 18th century, things Chinese, or in the Chinese style, then began a steady infiltration of the homes of the American city-dwelling merchant. The Philadelphia inhabitants had access to more reliable knowledge concerning this aspect of Chinese life than readers anywhere else in the West. It was popular for the residents, to use Chinese wall paper to decorate their homes. Chinese products, including teas, silk, porcelain, and cloth became part of the social milieu of colonial and post-revolutionary Philadelphia.
Franklin was deeply impressed by China Due to the limited communication between China and the United States, he was forced to use extra efforts to collect information on China. Unsatisfied with the book he read, he tried to contact people who had been to China. In order to obtain information on Chinese life and customs, he contacted the sailors on the Packet who had previously made the trip to the China seas. He obtained his knowledge of Chinese navigation from Captain Thomas Truxtun.
Franklin had a very deep interest in the Chinese governmental system, such as its legal code, the way of social promotion, statistics system and economical theory.
19 1724
Benjamin Franklin borrowed money and traveled to London to buy a printing press. When he stayed in London, he was passionate about reading various works. It was in this period that Franklin contacted the Confucius moral work. He read The morals of Confucius (1691) [ID D26897].
20 1724
Matteo Ripa bringt 36 Kupferstiche, Vues de Jehol, zu Richard Boyle, Earl of Burlington für sein Haus in Chiswick.

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