# | Year | Text |
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1 | 1925-1927 |
Ch'en Shou-yi studiert Comparative Literature an der University of Chicago.
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2 | 1925 |
Kafka, Franz. Der Prozess : Roman. (Berlin : Verlag Die Schmiede, 1925). Siehe Parabel Vor dem Gesetz.
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3 | 1925 |
Der Anlass für eine stärkere Auseinandersetzung von Elias Canetti mit der klassischen chinesischen Philosophie ist der Brand des Justizpalastes in Wien, der Beginn seiner Untersuchung über das Wesen von „Masse und Macht“. Er sucht nach der Erklärung der Massenbewegung in den Werken der westlichen Philosophen, findet aber erst später die Antwort in Mengzi.
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4 | 1925 |
Heinz Grzcyb kommt in Shanghai an und fährt als Berichterstatter der Armee nach Guangzhou (Guangdong).
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5 | 1925 |
Xie Fuya studiert an der University of Chicago.
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6 | 1925-1938 |
Ignaz Trebitsch-Lincoln kommt in Shanghai an, reist durch China, wird Buddhist und gründet ein Kloster in Nanjing und Tianjin.
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7 | 1925 |
Karl A. Wittfogel ist Kulturredakteur der Roten Fahne.
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8 | 1925-1927 |
Joseph Dehergne studiert am Jesuiten-Seminar in Beaumont-sur-Oise.
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9 | 1925 |
Tod von Henri Cordier.
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10 | 1925-1926 |
Dai Wangshu studiert Französisch an der Université l'Aurore, Shanghai. [Aurora-Universität].
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11 | 1925-1928 |
Shen Baoji studiert am Institut franco-chinois in Beijing.
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12 | 1925-1926 |
Jules Leurquin ist Konsul des französischen Konsulats in Guangzhou (Guangdong).
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13 | 1925 |
Vicente Blasco Ibánez hält sich in China auf.
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14 | 1925-1927 |
Lancelot Giles ist Konsul des britischen Konsulats in Fuzhou (Fujian).
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15 | 1925-1926 |
Alwyne George Neville Ogden ist stellvertretender Vize-Konsul des britischen Generalkonsulats in Hankou (Hubei).
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16 | 1925-1927 |
Guido Segre ist Konsul des italienischen Konsulats in Tianjin.
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17 | 1925 |
Claudel, Paul. Le soulier de satin [ID D22147].
Claudel sagt 1944 in einer Ansprache in Paris : « Le sujet du Soulier de satin, c'est celui de la légende chinoise des deux amants stellaires qui chaque années après de longues pérégrinations arrivent à s'affronter, sans jamais pouvoire se rejoindre, d'un côté et de l'autre de la voie lactée. » Yu Zhongxian : Cette légende de deux amants stellaires est sans aucun doute l’histoire du Bouvier (Niulang) et de la Tisserande (Zhinü), qui est tellement connue des Chinois et si souvent reprise par la poésie et le folklore : dans le Shi jing, dans Su shi shi jiu shou, dans la version Allusions littéraires de Corentin Pétillon [ID D22148], dans Fantômes de Chine de Lafcadio Hearn [ID D22151]. L'action principle du Soulier de satin reste dans la même structure que celle de la légende chinoise au sujet des deux amants stellaires. La séparation des amants à une grande distance et pendant une longue durée. Dans l'un comme dans l'autre cas, règne une contradiction, und désaccord entre les désirs humains de l'amour, du bonheur, de l'aisance et l'injonction d'un impératif fort, impératif divin et céleste. Avec le dénouement tragique, dans les deux cas, les spectateurs, auditeurs et lecteurs peuvent concevoir un petit espoir lumineux. Claudel n'avait pas l'intention d'écrire une historie orientale, mais une pièce de théâtre de sacrifice au sens catholique. Les différences entre la légende chinoise et le drame français sont plus évidentes que leurs analogies. Le soulier de satin : 1. L'aspiration des héros vers Dieu. 2. L'idée d'un sacrifice pour Dieu. 3. Une lutte intérieurs. 4. La séparation volontaire ou consentie. 5. La séparation comme devoir. 6. Une dure tache de conquête de la terre et de l'âme. 7. Dieu occupe la première place dans l'amour. 8. Dieu est omniprésent et omnipotent. 9. Un drame à la gloire de Dieu. Le Bouvier et la Tisserande : 1. L'aspiration d'une immortelle vers le monde terrestre. 2. L'idée d'une recherche du bonheur humain. 3. Un interdit extérieur. 4. La séparation forcée. 5. La séparation comme châtiment des crimes. 6. Un bonheur familial où l’homme laboure et la femme tisse. 7. Un amour excluant les dieux. 8. Les dieux sont méchants et puissants. 9. Une légende contre les Dieux. Le soulier de satin est la conséquence de longues méditations, de nombreuses lectures et de profondes réflexions de Claudel sur la civilisation chinoise et et sur la comparaison de deux grandes civilisations différentes, l'occidentale et l’orientale. |
18 | 1925 |
Claudel, Paul. Morceaux choisis [ID D21915].
Er schreibt über seine Sommerstation Kuliang (Fuzhou) im Vorwort : « Derrière moi la plaine, comme jadis en Chine quand je montais l'été vers Kou-liang, Le pays aplati par la distance et cette carte où l'on ne voit rient tant que l'on marche dedans, Le chemin qu'il a fallu faire avec tant de peine et de sueur de ce point jusqu'à un autre point, Tant de kilomètres et d'années qu l'on couvrirait maintenant avec la main ! Le soleil d'un brusque rayon çà et là fait revivre et reluire Un fleuve dont on ne sait plus le nom, telle ville comme une vieille blessure qui fait encore souffrir ! Là-bas la fumée d'un paquebot qui part et la clarté spéciale que fait la mer. |
19 | 1925 |
Tarcisio Martina kommt in China an.
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20 | 1925-1929 |
Tarcisio Martina ist als Missionar in der Missionsstation in Yixian (Hebei).
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