# | Year | Text |
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1 | 1964 |
Gloria Bien erhält den M.A. in French der University of California, Berkeley.
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2 | 1964-1967 |
Michael Aris studiert History an der Durham University.
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3 | 1964 |
Gaulle, Charles de. Conférence de presse du 31 janvier 1964.
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/de-gaulle-et- le-monde/de-gaulle-et-la-reconnaissance-de-la-chine/documents/31-janvier-1964-- conference-de-presse-du-general-de-gaulle.php. Nous allons parler de la Chine. De multiples questions m'ont été posées. Je répondrai à tout le monde en même temps, en expliquant ce qu'il en est. La Chine, un grand peuple, le plus nombreux de la terre ; une race, où la capacité patiente, laborieuse, industrieuse, des individus a, depuis des millénaires, péniblement compensé son défaut collectif de méthode et de cohésion et construit une très particulière et très profonde civilisation ; un très vaste pays géographiquement compact quoique sans unité, étendu depuis l'Asie Mineure et les marches de l'Europe jusqu'à la rive immense du Pacifique, et depuis les glaces sibériennes jusqu'aux régions tropicales des Indes et du Tonkin ; un Etat plus ancien que l'Histoire, constamment résolu à l'indépendance, s'efforçant sans relâche à la centralisation, replié d'instinct sur lui-même et dédaigneux des étrangers, mais conscient et orgueilleux d'une immuable pérennité, telle est la Chine de toujours. Son entrée en contact avec les nations modernes lui fut très rude et très coûteuse. En un siècle, de multiples interventions, sommations, expéditions, invasions, européennes, américaines, japonaises, lui valurent autant d'humiliations et de démembrements. Ces terribles secousses nationales, ainsi que la volonté des élites de transformer coûte que coûte leur pays pour qu'il parvienne à la même puissance et à la même condition que les peuples qui l'avaient opprimé, ont mené la Chine à la révolution. Sans doute, le maréchal Tchang Kaï-chek - à la valeur, au patriotisme, à la hauteur d'âme de qui j'ai le devoir de rendre hommage, certain qu'un jour l'histoire et le peuple chinois ne manqueront pas d'en faire autant, le maréchal Tchang-Kaï-chek, après avoir conduit la Chine à la victoire alliée qui scella dans le Pacifique la Deuxième Guerre mondiale, avait-il tenté de canaliser le torrent. Mais les choses en étaient au point qu'elles excluaient tout, sauf l'extrême. Dès que les Etats-Unis, qui avaient prêté au Maréchal le concours direct de leurs forces sur le continent, durent renoncer à le lui laisser, il se replia sur Formose et le régime communiste, longuement préparé par Mao Tsé-toung, établit sa dictature. Il y a quinze ans de cela. L'ardeur d'un peuple fier. Depuis lors, l'énorme effort qui, de toute façon, s'imposait quant à la mise en valeur des ressources naturelles, au développement industriel, à la production agricole, à l'instruction de la nation, à la lutte contre les fléaux inhérents à ce pays : la faim, les épidémies, l'érosion des sols, le débordement des fleuves, etc., a été déployé sur l'ensemble du territoire. Comme c'est toujours le cas en système communiste, ce qui pût être réalisé cIl est vrai que la Russie soviétique a, tout d'abord, prêté à la Chine un assez large concours : ouverture de crédits pour l'achat d'outillage et de ravitaillement, fourniture d'équipements miniers et industriels, installation d'usines entières, formation directe d'étudiants et de spécialistes, envoi sur place d'ingénieurs, de techniciens, d'ouvriers qualifiés, etc. C'était le temps où le Kremlin, utilisant, là comme ailleurs, sa rigoureuse prépondérance à l'intérieur de l'Eglise communiste pour soutenir la suprématie de la Russie sur les peuples d'une dictature semblable à la sienne lui avait subordonnés, comptait garder la Chine sous sa coupe et, par elle, dominer l'Asie Mais l'illusion s'est dissipée. Sans doute, demeure encore entre les régimes régnant à Moscou et à Pékin une certaine solidarité doctrinale qui peut se manifester dans la concurrence mondiale des idéologies. Mais, sous un manteau chaque jour plus déchiré, apparaît l'inévitable différence des politiques nationales. Le moins qu'on puisse dire à ce sujet, c'est qu'en Asie, où la frontière entre les deux Etats, depuis l'Indou-Kouch jusqu'à Vladivostok, est la plus longue qui existe au monde, l'intérêt de la Russie, qui conserve et qui maintient, et celui de la Chine, qui a besoin de croître et de prendre, ne sauraient être confondus. Il en résulte que l'attitude et l'action d'un peuple de 700 millions d'habitants ne sont effectivement réglées que par son propre gouvernement.omporta de terribles souffrances populaires, une implacable contrainte des masses, d'immenses pertes et gaspillages de biens, l'écrasement et la décimation d'innombrables valeurs humaines. Il apparaît, cependant, qu'au prix de tant de sacrifices, des résultats ont été atteints, dus, en partie, à l'action de l'appareil totalitaire et aussi, pour beaucoup, à l'ardeur d'un peuple fier, résolu dans ses profondeurs à s'élever en tous les cas, ainsi qu'aux trésors de courage et d'ingéniosité qu'il est capable de prodiguer, quelles que soient les circonstances. Du fait que, depuis quinze ans, la Chine tout entière est rassemblée sous un gouvernement qui lui applique sa loi et, qu'au-dehors, elle se manifeste comme une puissance souveraine et indépendante, la France se trouvait disposée à nouer avec Pékin des relations régulières. Sans doute, certains échanges économiques et culturels étaient-ils déjà pratiqués. Sans doute, la force des choses nous avait-elle amenés, ainsi que l'Amérique, l'Angleterre, l'Union soviétique, l'Inde et d'autres Etats, à négocier avec les représentants chinois lorsqu'en 1954, la conférence de Genève fixa le sort de l'IndoChine ou lorsqu'en 1962, sous la même forme et dans la même ville, la situation au Laos fut quelque peu définie. Mais, le poids de l'évidence et celui de la raison grandissant jour après jour, la République française a jugé, pour sa part, le moment venu de placer ses rapports avec la République populaire de Chine sur un plan normal, autrement dit diplomatique. Nous avons rencontré à Pékin une intention identique et on sait que, sur ce point, le Président Edgar Faure, prié d'effectuer sur place un sondage officieux, a rapporté à Paris des indications positives. C'est alors que les deux Etats se sont officiellement accordés pour accomplir le nécessaire. Le poids de l'évidence et de la raison. J'ai parlé du poids de l'évidence et de la raison. Il n'y a effectivement, en Asie, aucune réalité politique concernant, notamment, le Cambodge, le Laos, le Vietnam, ou bien l'Inde, le Pakistan, l'Afghanistan, la Birmanie, la Corée, ou bien la Russie soviétique, ou bien le Japon etc., qui n'intéresse ou ne touche la Chine. Il n'y a, en particulier, ni guerre, ni paix, imaginables sur ce continent sans qu'elle y soit impliquée. C'est ainsi que serait absolument inconcevable en dehors d'elle un accord éventuel de neutralité relatif aux Etats du Sud-Est asiatique, auxquels pour tant de raisons, nous, Français, portons une toute spéciale et cordiale attention ; neutralité, qui, par définition, devrait être acceptée pour eux tous, garantie sur le plan international, et exclurait à la fois les agitations armées soutenues par tel d'entre eux chez tel ou tel autre et les interventions multiformes de l'extérieur ; neutralité qui semble bien, dans la période où nous sommes, être la seule situation compatible avec la vie pacifique et le progrès des populations. Mais aussi, la masse propre à la Chine, sa valeur et ses besoins présents, la dimension de son avenir, la font se révéler de plus en plus aux intérêts et aux soucis de l'univers tout entier. Pour tous ces motifs, il est clair que la France doit pouvoir entendre directement la Chine et aussi s'en faire écouter. Pourquoi, d'ailleurs, ne pas évoquer ce qu'auront peut-être de fécond les rapports de peuple à peuple qui ont la chance de s'établir à la faveur du contact institué entre les deux Etats ? Certes, on doit se garder de nourrir trop d'illusions à cet égard. C'est ainsi que, dans le domaine des échanges économiques, ce qui se fait actuellement et qui peut, à coup sûr, être amélioré, restera longtemps limité. Il en est de même des investissements consacrés par nous au développement industriel chinois. Toutefois, le cas est différent pour ce qui est de la technique, dont les sources, en France, sont de plus en plus valables et pour laquelle la Chine est un champ indéfini d'application. Enfin, qui sait si les affinités qui existent notoirement entre les deux nations pour tout ce qui a trait aux choses de l'esprit, compte tenu du fait qu'elles se portent, dans leurs profondeurs, sympathie et considération réciproques, ne les conduira pas à une croissante coopération culturelle ? Cela est, en tout cas, sincèrement souhaité ici. Paris et Pékin sont donc convenus d'échanger des ambassadeurs. Est-il besoin de dire que, de notre part, il n'y a dans cette décision rien qui comporte la moindre approbation à l'égard du système politique qui domine actuellement la Chine ? En nouant à son tour, et après maintes nations libres, des relations officielles avec cet Etat, comme elle l'a fait avec d'autres qui subissent un régime analogue, la France reconnaît simplement le monde tel qu'il est. Elle pense que, tôt ou tard, certains gouvernements qui se réservent encore, jugeront bon de suivre son exemple. Par-dessus tout, il se peut, dans l'immense évolution du monde, qu'en multipliant les rapports entre les peuples, on serve la cause des hommes, c'est-à-dire celle de la sagesse, du progrès et de la paix. Il se peut que de tels contacts contribuent à l'atténuation, actuellement commencée, des dramatiques contrastes et oppositions entre les différents camps qui divisent le monde. Il se peut qu'ainsi les âmes, où qu'elles soient sur la terre, se rencontrent un peu moins tard au rendez-vous que la France donna à l'univers, voici 175 ans, celui de la liberté, de l'égalité et de la fraternité ". |
4 | 1964 |
Liang, Shiqiu. [The investigation of William Shakespeare in China]. In : Zhong yang ri bao = Central daily news ; May 25 (1964).
Liang writes that his first contact with Shakespeare in his youth was trough the medium of Lin Shu's translation. He pointed out that the Lambs' Tales from Shakespeare was written in order that young people might get some impression of Shakespeare's dramas before they began to study them later. The ancient formal Chinese of Lin Shu's version, though some scholars appreciated it greatly, was neither effective, nor agreeable for the young people in general. The first time he saw a Shakespearean play on a Chinese stage war in 1936. The play presented was The merchant of Venice performed by the graduation class of the National School of Drama in Nanjing, based on Liang's version. Liang schreibt : "I went there from Beijing especially for seeing that presentation which was considerably satisfactory. Some parts of my version were changed for the purpose of accomodating them to the conditions of the stage of that school. Moreover, some sentences were also adapted according to the familiar language. This is an evidence that my version was still too formal. That is to say, the sentences were not easy and fluent enough. This presentation on stage was the best critic of my work." |
5 | 1964 |
Zhao, Shouyin ; Long, Wenpei. Du Weinisi shang ren [ID D23930].
Shen Fan : Zhao and Long deny Shakespeare's transcendence of class and argue that Shakespeare was not condemning the destructive effects of money but rather treating money as a necessary companion of happiness, that he was not criticizing capitalists values, law, and commerce in The merchant of Venice but using the spirit of christian humanism to complement the law. |
6 | 1964 |
Festival zum 400. Geburtstag von William Shakespeare in Hong Kong.
Aufführung von Twelfth night in englischer Sprache durch den Hong Kong Stage Club und Garrison Players und Weinishi di shang ren = The merchant of Venice durch die Drama Society of the Hong Chinese University in Kantonesisch. Das British Council organisiert eine Shakespeare-Ausstellung. |
7 | 1964 |
Film : Du shi kuang xiang qu = 都市狂想曲 [City fantasy] unter der Regie von Wu Jiaxiang und dem Drehbuch von Wang Liuhao nach Gogol, Nikolai Vasil'evich. Revizor : komediia v piati dieistviiakh. (Sankt Petersburg : Tip. A. Pliushara, 1836).
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8 | 1964 |
Zhang Chi : A l'époque Mao, les oeuvres de Jean-Paul Sartre ont été aussi sévèrement critiquées malgré sa sympathie envers la Chine communiste. Après la rupture sino-soviétique, il a été condamné sans réserve par les idéologues chinois. Même son refus du prix Nobel en 1964 n'a pas eu d'applaudissements dans le milieu littéraire de la Chine, dont les idéologues et propagandistes considéraient le prix Nobel comme un moyen de la propagangde bourgeoise occidentale.
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9 | 1964 |
Yuan, Kejia. Bailun he Bailun shi ying xiong [ID D26472].
Yuan schreibt über Byron's Childe Harold : "After the first six pages [of Canto I], as soon as Childe Harold enters Napoleon-occupied Spain, the author kicks out Childe Harold and steps forward. The listlessness, boredom of the young aristocrat a moment ago is replaced by the fiery enthusiasm of a democratic combatant. In the second canto, [Byron] censures the English plunder of the Greek relics, attacks religious superstition, eulogizes the Albanian fighters, and expresses his discontent with Greek submission to Turkish rule, he does this all by himselb. He does not even allow Childe Harold to get a work in edgeways." Chu Chih-yu : Yuan applied a more eclectic approach, dividing Byronic rebellion in two aspects, the progressive and the passive. He observed that after the French Revolution, there appeared in Europe a wave of bourgois national and democratic revolutions. He considered these revolutions progressive and believed that the Byronic heroes' pursuit of individual freedom, dignity, happiness, and liberation coincided with the ideal of freedom and democracy which the democratic classes were striving for, and that, in terms of historical materialism, it was in keeping with the historical trend. The passive side of the Byronic hero to which he referred was mainly his melancholy and despair. Yuan found two different kinds of rebellion in Childe Harold : Childe Harold's ennui and escapism and Byron's direct call to the oppressed people to drive out the invaders. Ye Zi accused Yuan of 'objectively propagating bourgeois ideology'. Yuan replied : While obliged to admit that individualism was the core of bourgeois ideology. He insisted on the separability of bourgeois revolutionary thought from bourgeois individualism, especially in the case of Byron. Luo Li criticized Yuan mainly out of political considerations. He wrote : "Comrade Yuan's refusal to acknowledge the bourgeois individualistic nature of Byron's works disminishes the line of demarcation between proletarian and bourgeois ideology, which is very harmful to the present struggle to promote proletarian ideology and eliminate bourgeois ideology." |
10 | 1964 |
He, Minlin. Duwei jiao yu xue shuo dui yu wo guo dang qian jiao yu zhi ying xiang. [The influence of Dewey's theory of teaching method and subject matter upon Chinese education]. [ID D28583].
John Dewey was a reformer and a foreign philosopher ; his educational theory has had a tremendous influence upon Chinese education. Dewey lectured in China between 1919 and 1921 during which time he made a great many constructive suggestions to the existing Chinese educational system and curriculum. Even the present educational system was established also directly or indirectly under his influence. In spite of the fact that his prestige has been rapidly reduced in America, his philosophy of education and his way of thinking are still worthy to study. |
11 | 1964 |
Yuan, Kejia. Ying mei yi shi liu xiao shuo ping shu [ID D30387].
Tao Jie : The essay makes a careful study of The sound and the fury and As I lay dying by William Faulkner, Ulysses by James Joyce and To the lighthouse and The waves by Virginia Woolf. In the concluding section, Yuan Kejia labels the stream-of-consciousness fiction as "a literary product of the declining bourgeoisie in the West", and mentions As I lay dying and its interior monologues as a good example of "the psychological reflection of the declinging bourgeoisie that is divorced from reality and therefore afraid of confronting it". He severely criticizes stream-of-consciousness novelists for writing about "dreams, sex, madness, and nonconsciousness" which "are but expressions of the perverted psychology and low taste of a decadent class" and which have "power to corrupt the people's minds and their militant will." Despite the political jargon, Yuan makes a correct and objective interpretation of The sound and the fury and As I lay dying. Some of his arguments – such as the stream of consciousness as the best technique to depict the spiritual decadence of the Compsons ; the decline of the Compsons as represented by Benjy's idiocy, Quentin's suicide, and Jason's greed ; the complexity of psychological reaction to experience as reflected in the different characters in As I lay dying ; Addie's distress about the disjunction between words and reality and Anse's belief in abstraction – are still valid twenty-five years later. Although the author criticizes Faulkner for making Dilsey "more slavish than rebellious" and remarks that "it is incredible that this old woman should be so hardworking and so devoted to the white masters that have been exploiting her for years, he stresses the fact that "Faulkner took part in the 1951 campaign to protect a black man called Willie McGee and denounced the racists in the South in 1955 and opposed segregation in American schools", to show that Faulkner was not so "reactionary" as James Jyce or so "conservative" as Virginia Woolf. Jin Di : Yuan criticized Ulysses by James Joyce for its 'nihilist, philistine and pornographic tendencies', and denied its artistic values as well. |
12 | 1964 |
Yoshikawa, Kojiro. An interview with Ezra Pound. Transl. into English by Burton Watson. In : The East-West review ; vol. 1, no 2 (1964).
When Professor Yoshikawa met Pound, the poet was exposing himself to the sun, half-naked, standing on the grass. Around him were several young people, among whom a lady, a painter. "We were just protesting against Western civilization". This seemed to be the gist of his first words. I supposed he was referring to the exercises they had been doing. His next words I caught clearly. "I am a Confucian". Though I was aware it might sound like flattery, I asked pointedly if this was true. He repeated once more, "I am a Confucian". At this the young lady seated at his side kissed his left hand with a look of joy… A number of oil paintings on canvas and on board were scattered about the grass, already there when the exercises were going on. One of them was turned face down. On the yellow grain of the wood I could see written the three characters Hsin, Hsin, Hsin. I pointed to the painting and asked why there were Chinese character written on them… I did not catch his answer, but only the question he asked in return. "The character means new, doesn't it ?" "Fresh", I added. "Creative". Hsin tso nan men - "We built anew the southern gate" ; the passage in the Spring and autumn annals came to my mind. His eyes narrowed behind the beard and the young lady once more pressed her face against his hand. The board was turned over, revealing the face of a young girl ; she looked like the girl sitting beside us. |
13 | 1964 |
Moore, Marianne. Malvina Hoffman. In : Texas quarterly ; no 7 (Spring 1964).
Sculpture Inside and Out is a contribution to knowledge and to living – a conspectus of tasks not slighted – maser work – primitive and later, which one hopes not to mislay. Shown in it are the animal monuments ornamenting the road to the Ming Tobs ; the Chariot of the Moon (Ankor Vat)… Miss Hoffman's friends are a book in themselves ; her furniture also (refectory, French, and early American). Besides white and gold Napoleon 'N' china, she has a pheasant-and-butterfly dinner set of the variety with design on strange semi-dark Lowestoft Chinese apple green. Her gilded ivory painted French sofa is covered with old Persian brocade, woven in a bird-and-flower-cluster design on green. Among her costume rarities, a square black corded cap from Tibet of 'permanent' satin should be studies – in the hand ; and her Tibetan wildcat fur coverlet – deep reddish fur, light as thistledown on a turquoise satin back. |
14 | 1964 |
Moore, Marianne. Ten answers : letters from an October afternoon. In : Harper's, no 229 (Nov. 1964).
Dear Mr. Plimpton ; The questions. Q. What other pets than Elson Howard (your alligator) have you =? Was there a crow there ? Haven't I read that you have a crow ? A. … Other animals ? I have a mechanical elephant with plush skin, named Seneca, given me by Loren MacIver and Lloyd Frankenberg. I have a bronze elephant and mahout (Chinese and old) and a bronze baby pheasant (Chinese) with its head turned back the opposite way from the way it is sitting, also old ; a ceramic elephant made by Malvina Hoffmann ; have an ebony elephant from Ceylon ; ebony llama and lambs-wool Llama – ears tied with scarlet silk to designate ownership ; black clay Zni turtle ; Chinese brass lizard… |
15 | 1964 |
Aufführung von Act without words I von Samuel Beckett in der Hong Kong City Hall, unter der Regie von Jane Lai und Vicki Ooi.
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16 | 1964 |
Ding, Yaozan. Xi fang shi jie de xian feng pai wen yi shi jie zhi shi [ID D30772].
Dong calls Samuel Beckett a representative dramatist of the Theatre of the Absurd. Ding's reading of Waiting for Godot leads him to make these observations : 'The play's theme shows that it is impossible for man to find real meanings in life. Life is a tragedy of endless aspiration, endless disappointment, and the only outcome is waiting for death'. Ding further concludes that Beckett's other plays 'dramatize the same theme'. |
17 | 1964 |
Aufführung von Sheng si lian = 生死戀.von W. Somerset Maugham durch die Xianggang ye yu hua ju ju she = Hong Kong Amateur Drama Club unter der Regie von Lei Haoran.
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18 | 1964 |
Antonino Forte studiert Chinesisch und Japanisch am Istituto Universitario Orientale Neapel und erhält das Lizentiat in East Asian Languages and Civilizations.
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19 | 1964-1966 |
Douglas Brookfield ist Generalkonsul des Generalkonsulats in Shanghai.
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20 | 1964-1966 |
Michael Wilford ist Counsellor und Head of Chancery der britischen Botschaft in Beijing.
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