Proust, Marcel. A la recherche du temps perdu [ID D24100].
Einige seiner seltenen Erwähnungen Chinas.
Er schreibt : « Un des jours les plus graves de la crise où, pendant le ministère Rouvier, on crut qu'il allait y avoir la guerre entre la France et l'Allemagne, comme je dînais seul chez Mme de Guermantes avec M. de Bréauté, j'avais trouvé à la duchesse l'aire soucieux. J'avais cru, comme elle se mêlet volontiers de politique, qu 'elle voulait montrer par là sa crainte de la guerre, comme un jour où elle était venue à table si soucieuse, répondant à peine par monosyllabes ; à quelqu 'un qui l'interrogeait timidement sur l'objet de son souci elle avait répondu d 'un aire grave : La Chine m'inquiète. »
« dans la province de Canton, en Chine, on ne peut pas vous offrir un plus fin régal que des oeufs d'ortolan complètement pourris. »
« Vous connaissez l'histoire de cet homme qui croyait tenir dans une bouteille la princesse de la Chine. C'étais une folie. »
« Très bien, vous serez reçu, vous aurez certainement une mention, et Mme la duchesse vous donnera un dictionnaire chinois. »
« Je lui ai traduit cette lettre, reprit l'interprète lorsqu'ils furent seuls. Quand elle fut traduite, il a été je ne sais où. Puis il est revenu me chercher pour m'amener ici en me promettant deux louis. - Qu'as-tu à me dire, Chinois ? demanda Henri. – Je ne lui ai pas dit Chinois, dit l'interprète en attendant la réponse du mulâtre. [...]. Il m'aurait tué, ce Chinois-là ! se sit de Marsay. »
Literature : Occident : France